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GDI Services aux immeubles (gdi.to)

En 2011, j'avais acheté des actions du Groupe Distinction (GDI), un fournisseur de services intégrés aux immeubles; mais quelques mois après mon achat, l'entreprise fut rachetée pour 153 millions $ par Birch Hill Equity Partners et le management de GDI. Je me souviens que lors de l'annonce, mes collègues étaient content pour moi, car je réalisais une plus-value rapide, mais moi, je n'étais pas content, car j'étais forcé de vendre des actions d'une entreprises qui avait un fort potentiel de croissance dans une industrie très fragmentée. Peu après l'annonce, Bernard Mooney avait exprimé la même chose que moi.


GDI fait parti de ce que j'appellerais les consolidateurs d'industries traditionnelles fragmentées qui on réussi à consolider leur industrie à la fois avec des acquisitions et de la croissance interne. Un groupe qui selon-moi, pourrait comprendre des entreprises comme : Auto Canada, Couche-Tard, Saputo, MTY, K-Bro Linen, Boyd, Stella-Jones, etc.

Tout cela pour dire que GDI va revenir en bourse grâce à un RTO avec Medwell Capital dans lequel Birch Hill et Claude Bigras vont demeurer actionnaire. Depuis que GDI a été privatisé, sa taille a continué d'augmenter à l'aide de quelques acquisitions et ils sont maintenant rendu aux États-Unis. Ils ont des ambitions internationales. Ils réussissent très bien à allier croissance par acquisition et croissance à l'interne. Ils offrent plusieurs services au-delà de la conciergerie traditionnelle, comme le nettoyage après-sinistre (franchise-maîtresse de Steamatic au Canada) et la gestion énergétique. De plus, en raison des économies d'échelles qu'ils peuvent réaliser, il devient de plus en plus attrayant pour plusieurs organisations d'externaliser la conciergerie. Tout ça pour dire que la croissance de l'entreprise au cours des dernières années fut phénoménale.

Bien que le prix d'émission n'a pas encore été déterminé, selon mes calculs la capitalisation serait de 308 millions $ pour une entreprise qui a généré un BAIIA après Capex de 30 millions $ en 2014. Bien que je souhaite regarder les états financiers davantage, ça me semble être une évaluation intéressante avec un bon potentiel de croissance. Ils ont réalisé des revenus de 600 millions $ en 2014 et ils ont un objectif d'atteindre les 1 milliard $ en revenus d'ici quelques années. 

En 2011, dans le cadre de mon emploi, j'avais participé à réalisation d'une entrevue avec Claude Bigras, le PDG de GDI. Il m'avait beaucoup impressionné et j'ai aussi lu la biographie du fondateur de GDI, Jean-Louis Couturier qui est intitulée ''De la moppe au top''.


La culture de l'entreprise:

Je prévois lancer un blogue en juin pour y publier mes analyses et GDI sera probablement une de mes premières analyses. 
  1. Avez-vous déjà détenu des actions de GDI?16 votes
    1. Non
      81.25%
    2. Oui
      18.75%
  2. Avez-vous de l' intérêt pour GDI?16 votes
    1. Non
        6.25%
    2. Oui
      93.75%
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Réponses

  • 142 Réponses trié par Votes Date
  • Merci pour le lien Guillaume. La croissance est exceptionnelle. Bruno tu avais raison de penser que la privatisation te priverais de gain important. Il reste à voir à quel prix se fera l'IPO.
  • Voici l'information donnée sur le site de TD Waterhouse concernant cette émission

     Le prix n'est pas encore connu, l'émission devrait se faire dans la semaine du 4 mai.

    Le placement est réalisé dans le cadre de l’acquisition proposée par AcquéreurCo, notamment, de la totalité des actions en circulation du capital de GDI Services aux immeubles inc. au moyen d’un plan d’arrangement, et est conditionnel à cette acquisition proposée, et de la liquidation de GDI dans AcquéreurCo afin de former une seule entité n´négociée en bourse qui sera renommée « GDI Services aux immeubles inc. »,

    La direction est d’avis que GDI est le principal fournisseur de services de conciergerie externalisés au Canada et l’un des cinq principaux fournisseurs en Amérique du Nord. La majorité des principaux propriétaires ou gestionnaires de grands portefeuilles immobiliers et de vastes établissements spécialisés au Canada et un nombre grandissant de clients aux États-Unis utilisent les services de GDI. Au cours de l’exercice 2014, GDI a tiré environ 92 % du total de ses revenus du secteur des services de nettoyage commercial, et la tranche restante du secteur des services complémentaires. De plus, au cours de l’exercice 2014, GDI a généré environ 83 % de ses revenus de ses activités canadiennes et la tranche restante de ses activités américaines.

    Avec environ 17 000 employés au Canada et dans certaines villes choisies des États-Unis, GDI est le principal fournisseur de services de conciergerie externalisés au Canada (avec une taille d’environ 30 % plus grande que son plus proche concurrent), et l’un des cinq principaux fournisseurs en Amérique du Nord. Une majorité de grands propriétaires ou gestionnaires immobiliers au Canada et un nombre grandissant de clients aux États-Unis font appel aux services de GDI. La taille et la portée géographique de GDI lui procurent également un atout concurrentiel pour ce qui est du marketing, de l’efficience opérationnelle et du pouvoir d’achat des produits d’entretien et des fournitures sanitaires, surtout comparativement à ses concurrents d’une taille moins importante.

    Le secteur des services de conciergerie externalisés en Amérique du Nord est arrivé à maturité, mais il est très fragmenté, avec 98 % des 800 000 entreprises exerçant dans le secteur comptant dix employés ou moins, faisant de GDI une plateforme attrayante pour consolider un secteur fragmenté. La stratégie de croissance par voie d’acquisition de GDI est confirmée par la réalisation de 21 acquisitions depuis l’exercice 2008. GDI a aussi d´démontré sa capacité à poursuivre avec succès sa croissance à l’interne par voie d’une croissance à l’interne des revenus d’environ 5 % par année au cours de la période de deux ans terminée le 31 d´décembre 2014, ce qui d´dépasse la croissance à l’interne moyenne du secteur de 2,9 % pour le marché nord-américain au cours de la même période.

    À l’heure actuelle, il n’est pas prévu par GDI et AcquéreurCo que Nouvelle GDI d´déclarera des dividendes ou des distributions dans un avenir immédiat ou rapprochée après la réalisation du placement et de l’arrangement. Il est actuellement prévu que Nouvelle GDI conservera les sommes excédentaires afin de les affecter au financement de son expansion et au d´développement de ses activités et à la réduction de la dette.

    Le site internet de l'émetteur est www.gdi.com

    SVP se référer au prospectus pour de plus amples détails sur cette émission.  




  • Merci Bruno pour l'info.  J'étais actionnaire de GDI dans le temps et Mooney avait bien résumé la frustration de se voir acheté.  Lorsque tu prends un risque sur une si petite capitalisation et que ça fonctionne, c'est doublement frustrant.  La belle m'a abandonné dans le temps et maintenant elle me fait des yeux pour reprendre.....
    C'est une entreprise avec peu de Capex (ils ont même une compagnie de produits nettoyants...) donc avec de bons flux de trésorie.  Ils possèdent Steamatic en plus de 450 franchisés de Modern concept d'entretien.  J'imagine que le potentiel est là avec les foyers, condos, commerces, etc.  La démographie est vieillissante et il y a un potentiel de faire affaire avec des contractuels d'entretien.  On verra.  K-Bro Linen: beau modèle de consolidations, que de regrets.
    =((
  • 30 millions de cash flow d'opération et 16 millions de bénéfice net en 2014 pour une évaluation boursière actuelle de 370 millions.

    Ça me semble raisonnable comme évaluation surtout que les 4 acquisitions de 2014 ne sont pas incluses à 100% dans ce chiffre et que les 2 acquisitions de 2015 n'y sont tout simplement pas.

    Comme le disais Kicking, c'est une entreprise qui nécessite peu de capex, c'est donc surtout des immobilisations incorporelles qui sont amorties. C'est donc le genre d'entreprise dont les flux générés sont bien supérieurs au bénéfice comptable.

    J'ai décidé de prendre position dans le titre. Il y a simplement trop de points positifs dans l'histoire :

    - historique de succès du management
    - perspective de croissance énorme au USA
    - qualité des opérations (12 années d'affilées parmi dans le palmarès des sociétés les mieux gérés au Canada)
    - la direction a beaucoup d'actions
    - consolidateur dans un secteur ennuyeux (bonjour Monsieur Lynch)
    - un nom ridicule (re-bonjour Peter)

    Est-ce que quelqu'un d'autre sur ce forum a investi ou creuse présentement le dossier ?
  • J'ai pas poussé plus loin parce que les dés sont toujours pipés quand une firme d'investissement décaisse, l'inverse d'un spin-off aux actionnaires quoi.

    La stratégie de Birch Hill est assez claire: Ils ont payé une prime pour privatiser GDI au prix d'une croissance futur dans quelques villes Canadienne. Ils ont géré l'initialisation aux USA et ils sortent en vendant une valeur intrinsèque sur une croissance dans un énorme marché.

    Ce qui ne veut pas dire que le plan ne se réalisera pas mais il ne reste surement plus de marge d'erreur (de sécurité) dans le prix. 

    Sauf qu'effectivement la direction a une belle feuille de route. Ça mérite d'être suivi en cas de pépin d'exécution. 

  • Marcky, j'ai fait le même raisonnement que toi à l'époque de l'IPO de Dollarama

    http://www.entrepreneurboursier.com/2009/09/25/dollarama-de-lautre-cote-de-la-trade/

    Ce fut une grande erreur car le titre a ensuite multiplié par 7 en 6 ans !

    Je crois que c'est exagéré de dire que les dés sont pipés. Le private equity semble souvent avoir un horizon de 5 ans peu importe les perspectives. Et Birch Hill demeure actionnaire à hauteur de 32 %



  • Toutes les actions du IPO de GDI ont été émise par la trésorerie, Birch Hill n'a pas vendu aucune action. Ils détiennent des actions multi-votantes qui sont convertibles en actions subordonnés, je crois que ça veut dire qu'ils seront encore actionnaire un certain temps et qu'éventuellement ils voudront vendre en partie ou en totalité. Comme Phil l'a dit, ils ont 31% de toutes les actions et 65% des votes. Chaque firme de PE est différente et chaque investissement qu'ils font est différent, je ne sais pas ce que Birch Hill souhaite faire de GDI à moyen et long terme. 

    Pour Dollarama, Bain a complètement vendu toutes ses actions moins de deux ans après le IPO. Les dernières  ont été vendu à 16,25$ (ajusté pour le split) en 2011. Moi, je ne les ai pas imité.

    Pour plusieurs firmes de PE, faire un IPO, puis vendre par la suite en plusieurs tranches est la manière optimale de maximiser leurs placements.

    Si on compare les deux récents IPOs au Canada, soit GDI et Cara, sans trop avoir chercher très loin, je crois ne pas me tromper en affirmant que les opportunités de croissance de GDI n'ont rien à enlever à celles de Cara et qu'à mon avis le secteur d'activité de GDI est potentiellement plus intéressant que celui de Cara. Avec tout ça, je trouve qu'il y a une certaine disparité entre les évaluations des deux titres. L'action de Cara transige présentement à un P/E normalisé de plus de 30. C'est vrai qu'il y a une différence de capitalisation, mais quand même...
  • Connaissez-vous le multiple du BAIIA que GDI paye ses acquisations en moyenne ?
  • Je suis à l'étude de la compagnie mais je ne trouve pas beaucoup d'informations à part le prospectus. Avez vous trouvez un liens vers les relations avec les investisseurs ou l'équivalent?
  • @Automne

    Dans le prospectus, on mentionne deux acquisitions qui ont été fait en avril 2015 pour un montant total de 18 millions $ avec un ration de 9,33 fois les BAIIA. À part ça, on ne mentionne rien d'autre, j'ai regardé les anciens communiqués de presse de GDI pour des acquisitions qu'ils ont fait dans le passé (2008 à 2011) et comme se sont exclusivement des entreprises à capital fermé, l'information n'est tout simplement pas disponible. Beaucoup de ces entreprises sont des ''mom and pop shops'' qui doivent valoir une dizaine de millions, ce ne sont pas des entreprises qui se vendent bien plus de 10 fois les BAIIA, GDI étant souvent probablement le seul acheteur potentiel pouvant assurer la pérennité de l'entreprise; il ne doit pas y avoir trop de surenchère. Je sais aussi qu'avant que Birch Hill entre dans le portrait, les dirigeants des entreprises qu'ils achetaient restaient souvent en poste, j'ignore si c'est la même chose avec leurs récentes acquisitions.
  • mai 2015 modifié Vote Up0Vote Down
    Merci @BrunoGenereux

    Celle tu mentionnes inclut 3 immeubles de mémoire ?

    Je me demandais quelle valeur avait ces immeubles dans le prix d'acquisitions.

    À moins je me trompe !
  • @Automne

    C'est bien celle-là, mais il n'y a aucune information de disponible sur la valeur des immeubles dans le 18 millions $. Les deux entreprises sont une firme de services de conciergerie aux État-Unis et un distributeur de produits d'entretien au Canada. 


  • mai 2015 modifié Vote Up0Vote Down
    30 millions de cash flow d'opération et 16 millions de bénéfice net en 2014 pour une évaluation boursière actuelle de 370 millions.

    Ça me semble raisonnable comme évaluation surtout que les 4 acquisitions de 2014 ne sont pas incluses à 100% dans ce chiffre et que les 2 acquisitions de 2015 n'y sont tout simplement pas.

    Comme le disais Kicking, c'est une entreprise qui nécessite peu de capex, c'est donc surtout des immobilisations incorporelles qui sont amorties. C'est donc le genre d'entreprise dont les flux générés sont bien supérieurs au bénéfice comptable.

    J'ai décidé de prendre position dans le titre. Il y a simplement trop de points positifs dans l'histoire :

    - historique de succès du management
    - perspective de croissance énorme au USA
    - qualité des opérations (12 années d'affilées parmi dans le palmarès des sociétés les mieux gérés au Canada)
    - la direction a beaucoup d'actions
    - consolidateur dans un secteur ennuyeux (bonjour Monsieur Lynch)
    - un nom ridicule (re-bonjour Peter)

    Est-ce que quelqu'un d'autre sur ce forum a investi ou creuse présentement le dossier ?
    Je suis Totalement en accord avec tous tes points Phil.

    L'entreprise vaut selon moi autour de 12X BAIIA actuellement ( Action
    autour 18$ ). Ce n'est pas une aubaine ni surévalué si on se fie au
    passé et la qualité des dirigeants.

    On nous informe de l'objectif de 1,5 à 2 Milliards d'ici 5 à 7 ans de Revenu. Sachant que leur Marge demeure très stable et qu'on fini 2014 avec un revenu intégrant pleinement les acquisitions de 2014 autour de 640M. Je crois qu'on peut s'attendre a avoir le rendement du Revenu comme croissance du prix de l'action. Autour de 20% j'évalue.

     
  • Est-ce toujours sous le symbol T-GD?
  • Bon commentaire Phil à propos de l'occasion manquée au sujet de Dollarama.  J'ai vécu une situation similaire à l'époque en me laissant un peu trop influencé par les écrits du papa de Yan England:

    http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/michel-girard/200909/30/01-906834-une-piastre-a-faire-avec-dollarama.php

    Leçon apprise: Laissez parler les chiffres et analysez la progression du bilan quitte à rentrer dans le titre plus tard plutôt que de tenir pour acquise l'interprétation d'un chroniqueur ou voir même un analyste.  En fait, est-ce la compagnie livre la marchandise ou pas?  Heureusement, je suis quand même actionnaire DOL sur le tard, mais heureux malgré tout de participer (comme client aussi) à sa croissance.
  • Est-ce toujours sous le symbol T-GD?
     

    GDI

  • GDI  est de retour en bourse depuis une semaine et la valeur de l'action a varié de 4$ a 18$ depuis un an ? 


  • @oltav
    C'est parce qu'ils ont fait un reverse takeover avec Medwell Capital (une coquille). Medwell a émis des actions pour racheter les actifs de GDI, puis Medwell à changer son nom et son symbole pour GDI. Medwell avant GDI valait donc 4$.
  • Ok,  les résultas financier qu'on a sur tmx depuis 10 ans sont ceux de Medwell donc si j'achete GDI j'achete aussi medwell avec ses performences merdique ?
  • Medwell c'est le passé, aujourd'hui ça n'a plus rien à voir avec ça.
  • Merci Bruno

    Quel est le but de faire un reverse takeover ? il me semble que c'est compliquer l'affaire,il y a quelqu'un qui (les actionnaires de Medwell ) s'en ont mis plein les poches.

     tu dis Medwell c'est du passé ,ont-ils cessé toute activité ? leur activité déficitaire ne viendra pas amputé les bénéfices de GDI?
  • Les reverses takeovers sont assez courants, quelques uns par année. Lorsque ça arrive c'est que l'acquisition d'une coquille coûte moins chère que toutes les démarches pour inscrire une nouvelle compagnie en bourse. Tu peux pas juste appeler TMX et dire «Inscrivez moi en bourse lundi...». Donc il y a un marché pour les compagnies inactives mais qui sont déjà inscrite en bourse. L'inscription a une valeur qui représente le coûts de faire les démarches pour inscrire une compagnie en bourse. Si tu penses que c'est payant pour les actionnaires des coquilles tu peux en profiter. Recherche les coquilles vides et achète leurs actions avant que quelqu'un les utilisent pour un RTO.

    Tu vois la beauté de notre système capitaliste c'est que partout où tu penses que des actionnaires s'en mettent pleins les poches tu as le droit d'y participer. C'est mieux que de s'en plaindre.
  • il ne doit pas avoir beaucoup de monde qui investisse dans des compagnies inactivent sans avoir été mis au courant de ce qui ce passe en coulisse,sans de l'information privilégié c'est jouer a la roulette russe.
  • Bon commentaire Phil à propos de l'occasion manquée au sujet de Dollarama.  J'ai vécu une situation similaire à l'époque en me laissant un peu trop influencé par les écrits du papa de Yan England:

    http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/michel-girard/200909/30/01-906834-une-piastre-a-faire-avec-dollarama.php

    Leçon apprise: Laissez parler les chiffres et analysez la progression du bilan quitte à rentrer dans le titre plus tard plutôt que de tenir pour acquise l'interprétation d'un chroniqueur ou voir même un analyste.  En fait, est-ce la compagnie livre la marchandise ou pas?  Heureusement, je suis quand même actionnaire DOL sur le tard, mais heureux malgré tout de participer (comme client aussi) à sa croissance.
    Ça sonne toujours plus intelligent d'être sceptique mais à un moment donné, il faut juste analyser les choses objectivement sans a priori.

    Le père de Yan England... lol, je n'étais pas au courant de ça.

  • @oktav

    Comme Mario l'a bien résumé, ceux qui investissent dans des coquilles vides prennent beaucoup de risques et ils sont parfois très bien récompensés.

    Il y a deux types de coquilles qui se retrouve sur la bourse il y a les capital pool company qui sont vraiment des sociétés qui ont été incorporé avec le seul but de faire un RTO et il y a en d'autres qui avaient d'autres activités qui ont mal tournés et qui sont devenus des coquilles. 

    Medwell était un fonds d'investissement pharma, mais avant ils s'appelaient BioMS Medical et leurs actions avaient perdu pratiquement toute leur valeur.

    Un RTO qui s'est bien déroulé il y a quelques mois et qui semble prometteur est Diversified Royalty Corp. 
  • Je tiens à clarifier que j'ai écris que Birch Hill n'a pas vendu d'actions de GDI, c'est une erreur de ma part que d'avoir affirmer cela. En fait, comme c'est un RTO, la coquille qui a émis des actions a utilisé une partie du produit pour acheter une partie des actions que Birch Hill et les dirigeant de GDI détenaient dans l'ancienne entité qui possédait GDI.
  • La compagnie m'intéresse aussi, est-ce que vous savez s'il y a un MD&A pour le Q1 2015?
     je l'ai pas trouvé sur SEDAR

  • Il est sorti en douce il y a deux semaines, regarde pour l'entreprise medwell sur sedar et tu vas le trouver
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