Je viens de terminer le livre "The Outsiders" après en avoir entendu parler à quelques reprises. C'est un bon livre qui garde le focus sur quelques idées simples et nous présente des CEO qui ne sont pas très connu malgré leur immense succès (à l'exception de Buffett).
Après avoir lu ce livre, je suis de plus en plus convaincu qu'un bon investisseur doit surtout se préoccuper des cash flows d'une société( la compagnie génère-t-elle vraiment du cash ?, et si oui, de quelle façon ?) et de l'efficacité de l'allocation de capital (est-ce que la cie investi le cash qu'elle génère rationnellement par la suite ?).
On peut obtenir le bénéfice net comptable et ses ratios dérivés (le PER, le PEG) en quelques secondes de recherche sur le net. S'intéresser aux cash flows et à l'allocation de capital demande une étude et une réflexion un peu plus approfondie sur un titre.
Bref, je suis en train de me de me demander si un investisseur le moindrement sophistiqué ne devrait pas se foutre complètement du bénéfice net et du ratio cours/bénéfice. Qu'en pensez-vous ?
Réponses
-Alain Bouchard
-Yves Desgroseillers
-Richard Lord de Richelieu peut-être.
-Les dirigeants de PRAA M. Frederckson et Stevenson. Eux aussi me semble de bon allocateurs de capital.
-Prem Watsa? Me semble que son étoile à pâli ces dernières années.
-Bob Dhillon de Mainstreet? En tout cas le rachat d'action qu'il a fait en janvier 2009 était de toute beauté. Il avait racheté 24% des actions à 6,25$.
-Eddie Lampert pourrait parfaitement correspondre à la description, reste juste à voir si il va créer de la valeur avec Sears ou si il s'est trompé.
Avez-vous d'autres idées?
Jonathan Goodman
1) Quels sont les PDG qui ont eu un attitude d'outsiders mais qui ont échoué lamentablement. Quel est à votre avis la raison de leur échec?
2) comment arrivez-vous à faire la différence, si cela un possible, entre un vrai outsider d'un autre qui est destiné à l'échec?