Lors d'un party du temps des fêtes, j'ai fait la connaissance d'un dirigeant d'une entreprise qui fabrique des fermes de toits en bois (des "trust"). Discussion très intéressante sur son entreprise et le domaine dans laquelle elle évolue. Au fil des échanges, je me rend compte que son entreprise, tout comme ses compétiteurs, sont dépendants d'un fournisseur à haute importance stratégique.
Ce fournisseur fabrique différents équipements ainsi que les plaques de métal nécessaire pour retenir les madriers de bois entre eux et ainsi obtenir les fermes de toits. Non pas que les plaques de métal soient difficile à copier, mais le fournisseur a développé un logiciel qui rends ses clients captif... Ce logiciel est, selon mon interlocuteur, de beaucoup supérieur à tout ce qui se fait sur le marché. Il facilite la vie des estimateurs, dessinateur et même des ouvriers, car le logiciel est relié à des faisceau lumineux sur la chaîne de production qui indiquent exactement où les ouvriers doivent placer le bois et les plaques de métal pour l'assemblage.
Pour avoir accès à ce logiciel, toutes les entreprises utilisatrices doivent donc continuellement s'approvisionner de plaques de métal auprès du fournisseur. N'est-ce pas l'exemple parfait d'une entreprise qui a réussi à ce créer un moat pour garder ses clients captif. Dès que j'en ai eu la chance, j'ai fait des recherches sur le dis fournisseur. J'étais prêt à investir dans ce joyau. Je google donc Mitek pour découvrir que Berkshire Hattaway en a fait l'achat en 2001.
Réponses
A few days before last year’s annual meeting, I received a heavy package from St. Louis, containing an unprepossessing chunk of metal whose function I couldn’t imagine. There was a letter in the package, though, from Gene Toombs, CEO of a company called MiTek. He explained that MiTek is the world’s leading producer of this thing I’d received, a "connector plate," which is used in making roofing trusses. Gene also said that the U.K. parent of MiTek wished to sell the company and that Berkshire seemed to him the ideal buyer. Liking the sound of his letter, I gave Gene a call. It took me only a minute to realize that he was our kind of manager and MiTek our kind of business. We made a cash offer to the U.K. owner and before long had a deal.
Gene’s managerial crew is exceptionally enthusiastic about the company and wanted to participate in the purchase. Therefore, we arranged for 55 members of the MiTek team to buy 10% of the company, with each putting up a minimum of $100,000 in cash. Many borrowed money so they could participate.
As they would not be if they had options, all of these managers are true owners. They face the downside of decisions as well as the upside. They incur a cost of capital. And they can’t "reprice" their stakes: What they paid is what they live with.
Charlie and I love the high-grade, truly entrepreneurial attitude that exists at MiTek, and we predict it will be a winner for all involved.
Berkshire regorge de ce type d’entreprises. Une de leur entreprise, Marmon est un véritable conglomérat à l’intérieur d’un conglomérat. J’ai déjà travaillé dans un restaurant McDonalds et depuis fort longtemps, une bonne partie de l’équipement spécialisé utiliser par les restaurants McDonalds provient de Prince Castle qui appartient à Marmon. Je crois donc qu’il serait difficile pour McDonalds de changer de fournisseur.