Ce n'est pas vraiment suprenant GP. Pour plusieurs, ils étudient encore, pour d'autres, ils ont récemment acheté un condo, une maison et ont encore des dettes d'études, pas encore eu le temps d'épargner beaucoup et d'accumuler dans des régimes de retraites, ou s'ils ont épargnés, ils l'ont mis dans l'immobilier. C'est mon analyse rapide..dis-toi que la richesse s'accumule quand tu passes au groupe d'âge suivant.
Eric surtout que les intérêts des prêts étudiants sont déductibles d'impôt non?
Non, il aurait fallut que ce soit explicitement dans le but de faire du revenue (placements) et que je l'est investi hors compte enregistré. Mais les frais pour le cours lui même l'était soit environ 12K$...
Non Éric, les frais d'intérêts pour les prêts étudiants sont toujours déductibles d'impôt, va relire là-dessus, ça vaut le coup.
Merci mais du coup, je n'est plus accès à impotnet, je vais m'informé pour mon dossier s'il y a moyen de retouché 2013... Pour 700 $ de déductions, je ne sait pas le résultat que ça donne... 200-300 $, toujours pratique...
Le truc inquiétant à mon avis est la dimiution relative des actions (fonds mutuels, capital-actions) dans la valeur nette des ménages...
L'immobilier est en hausse, pas étonnant avec la décennie qu'on a connu. Mais l'endettement aussi, avec les conséquences que ça pourrait avoir s'il y a hausse des taux. Et les possibilités d'appréciation de l'immobilier sont désormais très limitées à court terme...
Il y a clairement une tendance forte vers les marges de crédit. Ça ne dit pas si ce sont des marges de crédit hypothécaires par contre...
Je remarque aussi une augmentation de l'actif attribuable aux véhicules (et les prêts auto). Personnellement je considère les vehicules de plaisance comme un produit de consommation a dépréciation rapide et je n'en tiens pas compte dans la colonne des actifs de mon bilan personnel.
Bref je suis mitigé sur la situation des ménages canadiens.
La résidence personnelle ne constitue pas de l'épargne. Les gens sont obligés d'avoir un toit, s'ils veulent avoir accès à l'équité de leur résidence, ils doivent emprunter.
La résidence personnelle ne constitue pas de l'épargne. Les gens sont obligés d'avoir un toit, s'ils veulent avoir accès à l'équité de leur résidence, ils doivent emprunter.
On peut quand même considérer la résidence personnelle comme ayant le rendement équivalent au loyer qu'il faudrait payer pour habiter un logement similaire. Pour être honnête il faut considérer les taxes municipales et l'entretien dans la comparaison.
En ce moment le ratio "price-to-rent" est élevé historiquement. Donc la valeur "marchande" de la résidence principale est quelque peu détachée de sa valeur locative. Il y a donc effectivement un danger de considérer l'équité de la résidence comme un capital-retraite. Tant que c'est pas vendu c'est du "paper gain".
La résidence personnelle ne constitue pas de l'épargne. Les gens sont obligés d'avoir un toit, s'ils veulent avoir accès à l'équité de leur résidence, ils doivent emprunter.
Il y a quand même une partie de la valeur de ma résidence qui constitue de l'épargne. En effet, mon toît sur la tête pourrait ne valoir que 100 000 $, voire moins, et jouer quand même son rôle de toît sur la tête. Si elle vaut 500 000 $ sur le marché, on s'entend que j'ai, par le biais de celle-ci, une épargne d'au moins 400 000 $.
L'équité que les gens accumulent en remboursant leur hypothèque ne constitue pas de l'épargne, car la seule façon d'y touchée, c'est en faisant un refinancement. Épargnez pour achetez un immeuble locatif, des actions ou des obligations permet d'augmenter le stock d'épargne disponible pour l'économie. Remboursez une hypothèque ne fait augmenter le stock d'épargne.
L'équité que les gens accumulent en remboursant leur hypothèque ne constitue pas de l'épargne, car la seule façon d'y touchée, c'est en faisant un refinancement. Épargnez pour achetez un immeuble locatif, des actions ou des obligations permet d'augmenter le stock d'épargne disponible pour l'économie. Remboursez une hypothèque ne fait augmenter le stock d'épargne.
Je pourrais vendre ma maison et acheter une maison à 100 000 et investir la différence en bourse. C'est donc de l'épargne.
Mais, ça ne viendrait pas faire augmenter le stock d'épargne disponible pour l'économie, car un acheteur va devoir acheter ta maison en se finançant avec ses propres économies et celles de son créancier.
@BrunoGenereux Si tu le prends de cet angle il n'y a rien qui fait augmenter l'épargne. Et c'est pas parce que ça ne fait pas augmenter l'épargne que ça n'en constitue pas. Rien ne se perd et rien ne se cré.
Pris de ton angle, l'acheteur de ma maison va devoir travailler pour payer son hypothèque et c'est son travail qui produira l'épargne.
Acheter un actif (une maison) n'est pas une dépense, tous les comptables savent cela. L'actif passe à la dépense de façon progressive par la diminution de sa valeur comptable, s'il y a lieu.
Mais, ça ne viendrait pas faire augmenter le stock d'épargne disponible pour l'économie, car un acheteur va devoir acheter ta maison en se finançant avec ses propres économies et celles de son créancier.
Si je vend un stock boursier, l'acheteur va devoir se financier avec ses propres économies et celles de son créancier. Ca ne veut pas dire que cet argent que je receverai n'est pas de l'argent que j'ai épargné.
Réponses
un avoir net médian de 25 000 $ ?!?
:-))
Pour le Québec, tableau super interessant à la page 4, date de 2005:
http://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/conditions-vie-societe/bulletins/sociodemo-vol13-no1.pdf#page=4
ou ceci:
http://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/conditions-vie-societe/depenses-avoirs-dettes/avoirs-dettes/patrim_tab1.htm
(Heureusement que c'est loin devant...)
Si tu le prends de cet angle il n'y a rien qui fait augmenter l'épargne. Et c'est pas parce que ça ne fait pas augmenter l'épargne que ça n'en constitue pas. Rien ne se perd et rien ne se cré.
Pris de ton angle, l'acheteur de ma maison va devoir travailler pour payer son hypothèque et c'est son travail qui produira l'épargne.