Et les foutus conseillers financiers, c'est bien sur qu'il vont prôner de ne jamais rien faire, c'est ce qui les avantages le plus, rien faire.
Loin de moi de vouloir défendre les conseillers financiers. Ceci dit, le principal ennemi de l'investisseur, c'est lui-même, et surtout l'impression fausse, créée par les hormones sécrétées lorsque nous "passons à l'action" et transigeons, que nous sommes davantage en contrôle de notre portefeuille en transigeant activement. C'est, pour la très grande majorité des investisseurs, la principale cause de leur sous performance.
Ton commentaire n'a aucun rapport avec ma citation...
Et en fait, je ne prône aucune stratégie particulière, je les utilise plutôt toutes. Mais je déteste quand on dénigre toutes les stratégies sauf la sienne.
Et les foutus conseillers financiers, c'est bien sur qu'il vont prôner de ne jamais rien faire, c'est ce qui les avantages le plus, rien faire.
Je
ne dénigre aucune stratégie. Comme investisseur, mon objectif est de maximiser
mon rendement après impôt en fonction du niveau de risque que je prends. Un
investisseur qui pourrait identifier avec succès les creux et les sommets aura
fort probablement un meilleur rendement que le mien et si cet investisseur
existe bel et bien, j'aimerais bien qu'il m'enseigne ce qu'il fait.
Pour
tout investisseur qui essaie d'identifier les creux et les sommets, il doit
prendre deux décisions comparativement à l'investisseur qui ne transige pas,
plus tu prends de décisions, plus tu as de chances de te tromper. Également,
certains investisseurs,
tel moi qui ai un compte sur marge, ou d'autres qui n'ont pas nécessairement de
compte sur marge, n'ont pas de compte à l'abri de l'impôt (CELI ou REER). Donc,
dès qu'un investisseur dans cette situation vend un titre avec un gain, il est
taxé. Si un investisseur fait trop de ce genre de transaction, ses gains
seraient considérés comme du gain en capital et il perdrait l'exonération de
50%.
Quant
à moi, le problème avec plusieurs investisseurs qui font du trading, c'est
qu'ils ne peuvent pas concevoir ce qu'est un bon rendement, c'est-à-dire qu'ils
ne vont pas comparer leur rendement avec celui du marché. Certains peuvent se
contenter d'avoir un rendement possiblement positif, mais si ce rendement est
inférieur à celui du marché, tu« payes » alors un gros coût d'opportunité sans compter que tu as pris plus de risques (selon ma
définition du risque) en faisant pleins de transactions. Enfin, si le compte
n'est pas à l'abri de l'impôt, un rendement de trading avant impôt égal à un
rendement de trading avant impôts sera après impôt, un rendement de trading fort
inférieur au rendement du marché après impôt que l'on peut obtenir avec un
FNB et encore plus inférieur si les revenus de gains sur vente de titres sont considérés comme du revenu d'entreprise.
Tout ça est très nouveau, ces forums, ces discussions et c'est en forgeant qu'on devient forgeron. C'est vrai qu'on parle beaucoup de valeurs canadiennes mais le monde des valeurs boursières et des stratégies boursières est un champs de liberté très vaste qu'il ne faut pas hésiter à utiliser (avec discernement bien sur...)
De mon coté j’ai plutot tendance a sortir du marché une
partie de mes titres dès que la baisse débute ou dès que j’ai peur , en ce
moment par exemple je viens de me mettre 25% cash et 25% ETF dans des ETF qui
respectent a peu près la répartition sectorielle que je désire ( principalement
VDY VRIF et XEI) , l’avantage avec ces
ETF et que le market maker est toujours la pour acheter et ce quel que soit la
quantité , le reste est réparti entre mines d’or (25%) et des gros titres comme
BCE , Teck , energie renouvelable , pipelines
et la aussi si le marché se mets a baisser ce sera une certaine sortie.
Lors de la descente de l’an passé je suis sorti du marché
mais pas assez vite a mon gout et n’est pas envie de recommencer , parmi les
gaffes juste avant les elections US j’ai eu peur , me suis mis cash a 30% et finalement j’ai racheté plus cher que j’ai
vendu , j’ai vu ça comme une couteuse police d’assurances…
Je ne suis pas investisseur donc pas attaché aux companies
et mes analyses sont plutot techniques (achat sur support) , aucune idée de leur perte ou benefices sauf
que je me tiens pratiquement uniquement dans les grosses companies .
Même si je ne trade plus trop trop je me tiens avec des
traders techniques et ce qui en ressort c’est que les portefeuilles d’une
certaine taille sont aux environs de 25% liquide… mais eux aussi ne sont pas
trop investisseurs fondamentaux , quand ils achetent au même moment est prise
la décision du point de sortie et ce quel que soit le bord ou ça va virer…
J’aime bien le forum dans le sens ou il m’apporte une toute
autre vision que je respecte tout a fait et me fait me rappeller certaines
ventes que je regrette amèrement , un des plus beaux exemples etant sans doute
AAPL , j’ai acheté 300 actions en 2000 aux environs de 40$ , pris un petit
benefice et out , merci bonjour , en regardant les splits , j’aurais maintenant
4200 AAPL pour un montant de 500 000$ US , vu debuter ATD.b mais n’y ait
pas cru …. Ainsi va ma vie boursière et d’un autre coté il y a eu de très bons
coups surtout dans les mines d’or..
Ce gestionnaire
prévoit la même chose depuis longtemps. Ça ne veut pas dire qu'il ne pourra pas
avoir raison avec cette prédiction. Mais il est bon de se rappeler que depuis au
moins 10 ans, ses prédictions ne se sont pas matérialisées et que même si elles
se matérialisaient cette fois, je me demande si à la fin du cycle il serait
quand même en mesure de surperformer le marché.
Lorsqu'on investit à long terme, on recherche des titres qui offrent un fort potentiel de croissance. Malheureusement, une société ne peut pas maintenir un taux de croissance élevé indéfiniment. Tôt ou tard, elle atteint la maturité et le taux de croissance chute. Il est alors temps de vendre. Un bon exemple est Dollarama. Jusqu'à la fin de 2017, elle a maintenu un taux annuel de croissance de 40 % en moyenne. Elle fait maintenant du sur place. Le titre a atteint 56,66 $ en janvier 2018. Il est maintenant à 55,96 $, et le dernier sommet, le mois dernier, était de 60,87 $.
Lorsqu'on investit à long terme, on recherche des titres qui offrent un fort potentiel de croissance. Malheureusement, une société ne peut pas maintenir un taux de croissance élevé indéfiniment. Tôt ou tard, elle atteint la maturité et le taux de croissance chute. Il est alors temps de vendre. Un bon exemple est Dollarama. Jusqu'à la fin de 2017, elle a maintenu un taux annuel de croissance de 40 % en moyenne. Elle fait maintenant du sur place. Le titre a atteint 56,66 $ en janvier 2018. Il est maintenant à 55,96 $, et le dernier sommet, le mois dernier, était de 60,87 $.
Oui, mais il ne faut pas juste regarder le taux de croissance. Pour moi la croissance du bénéfice par action est aussi importante, car c'est celle de l'actionnaire. De plus, il n'est pas rare qu'il y ait des pauses dans la croissance des bonnes compagnies.
Il va peut-être avoir une récession. Mon feeling (et non mon analyse économie, car je n'en fais pas) me dit que c'est plus probable qu'improbable, mais ce n'est pas encore une certitude.
Je n'exclu pas une continuation de la baisse. Au-delà du risque de récession, les taux d'intérêts ont une influence importante sur les évaluations des actions et c'est difficile de juger jusqu'à quel niveau pourraient aller les taux d'intérêt; si le rendement des obligations de 10 ans est 6%, les ratios cours-bénéfices seront probablement plus bas qu'aujourd'hui.
Chose certaine, c'est très probable que s'il n'y a pas de récession, il pourrait y avoir un rallye à la hausse avec une hausse relativement important en relativement peu de temps et ce alors que le risque de récession ne sera pas complètement éclipsé à 100% au montant du rallye. S'il y a une récession, il y aura éventuellement aussi un rallye à la hausse avec une hausse relativement importante en relativement peu de temps alors qu'il y aura encore plein de mauvaises nouvelles et de mauvaises perspectives dans l'air et qu'on sera à la fin de la récession.
Peut-importe le scénario, il y aura pleins de petits investisseurs qui se vanteront d'avoir un haut pourcentage d'encaisse en portefeuille en disant qu'ils attendent le bon moment pour investir pour paraître sage et qui finiront par déployer leur encaisse après le rallye et rendu là ils vont commencer à craindre le prochain problème qui pourront faire trembler les marchés.
Il va peut-être avoir une récession. Mon feeling (et non mon analyse économie, car je n'en fais pas) me dit que c'est plus probable qu'improbable, mais ce n'est pas encore une certitude.
Je n'exclu pas une continuation de la baisse. Au-delà du risque de récession, les taux d'intérêts ont une influence importante sur les évaluations des actions et c'est difficile de juger jusqu'à quel niveau pourraient aller les taux d'intérêt; si le rendement des obligations de 10 ans est 6%, les ratios cours-bénéfices seront probablement plus bas qu'aujourd'hui.
Chose certaine, c'est très probable que s'il n'y a pas de récession, il pourrait y avoir un rallye à la hausse avec une hausse relativement important en relativement peu de temps et ce alors que le risque de récession ne sera pas complètement éclipsé à 100% au montant du rallye. S'il y a une récession, il y aura éventuellement aussi un rallye à la hausse avec une hausse relativement importante en relativement peu de temps alors qu'il y aura encore plein de mauvaises nouvelles et de mauvaises perspectives dans l'air et qu'on sera à la fin de la récession.
Peut-importe le scénario, il y aura pleins de petits investisseurs qui se vanteront d'avoir un haut pourcentage d'encaisse en portefeuille en disant qu'ils attendent le bon moment pour investir pour paraître sage et qui finiront par déployer leur encaisse après le rallye et rendu là ils vont commencer à craindre le prochain problème qui pourront faire trembler les marchés.
Ma prédiction: Il n'y aura peut-être pas de récession.
Il va peut-être avoir une récession. Mon feeling (et non mon analyse économie, car je n'en fais pas) me dit que c'est plus probable qu'improbable, mais ce n'est pas encore une certitude.
Je n'exclu pas une continuation de la baisse. Au-delà du risque de récession, les taux d'intérêts ont une influence importante sur les évaluations des actions et c'est difficile de juger jusqu'à quel niveau pourraient aller les taux d'intérêt; si le rendement des obligations de 10 ans est 6%, les ratios cours-bénéfices seront probablement plus bas qu'aujourd'hui.
Chose certaine, c'est très probable que s'il n'y a pas de récession, il pourrait y avoir un rallye à la hausse avec une hausse relativement important en relativement peu de temps et ce alors que le risque de récession ne sera pas complètement éclipsé à 100% au montant du rallye. S'il y a une récession, il y aura éventuellement aussi un rallye à la hausse avec une hausse relativement importante en relativement peu de temps alors qu'il y aura encore plein de mauvaises nouvelles et de mauvaises perspectives dans l'air et qu'on sera à la fin de la récession.
Peut-importe le scénario, il y aura pleins de petits investisseurs qui se vanteront d'avoir un haut pourcentage d'encaisse en portefeuille en disant qu'ils attendent le bon moment pour investir pour paraître sage et qui finiront par déployer leur encaisse après le rallye et rendu là ils vont commencer à craindre le prochain problème qui pourront faire trembler les marchés.
C'est un point de vu.
Sam Zell sur cnbc , qui n'aime pas le marché présentement. On lui suggère que dans un contexte de grande inflation, le cash perd de la valeur rapidement .Alors être cash présentement c'est bon ou pas bon? Il dit que si la fed fait ce qu'elle dit qu'elle va faire ,Cela devrais enlevé 90 milliards/mois de liquidité . Cela fera que rapidement le marché devra faire avec beaucoup moins de liquidité. Dans l'anticipation de cela, être cash aujourd'hui est beaucoup mieux qu'il y a un ans.
Peut-importe le scénario ? Je suis d'accord avec toi a 80%, le 20% restant c'est ma liquidité (achat xus 66 fait, 57.5 ordre en attente, 48 en attente 42 en attente)
Réponses
https://www.ifa.com/articles/dalbar_2016_qaib_investors_still_their_worst_enemy/
Pour tout investisseur qui essaie d'identifier les creux et les sommets, il doit prendre deux décisions comparativement à l'investisseur qui ne transige pas, plus tu prends de décisions, plus tu as de chances de te tromper. Également, certains investisseurs, tel moi qui ai un compte sur marge, ou d'autres qui n'ont pas nécessairement de compte sur marge, n'ont pas de compte à l'abri de l'impôt (CELI ou REER). Donc, dès qu'un investisseur dans cette situation vend un titre avec un gain, il est taxé. Si un investisseur fait trop de ce genre de transaction, ses gains seraient considérés comme du gain en capital et il perdrait l'exonération de 50%.
Quant à moi, le problème avec plusieurs investisseurs qui font du trading, c'est qu'ils ne peuvent pas concevoir ce qu'est un bon rendement, c'est-à-dire qu'ils ne vont pas comparer leur rendement avec celui du marché. Certains peuvent se contenter d'avoir un rendement possiblement positif, mais si ce rendement est inférieur à celui du marché, tu« payes » alors un gros coût d'opportunité sans compter que tu as pris plus de risques (selon ma définition du risque) en faisant pleins de transactions. Enfin, si le compte n'est pas à l'abri de l'impôt, un rendement de trading avant impôt égal à un rendement de trading avant impôts sera après impôt, un rendement de trading fort inférieur au rendement du marché après impôt que l'on peut obtenir avec un FNB et encore plus inférieur si les revenus de gains sur vente de titres sont considérés comme du revenu d'entreprise.
Effectivement, il y a des gens qui savent lire le français et qui peuvent rester dans tous les pays du monde.
De mon coté j’ai plutot tendance a sortir du marché une partie de mes titres dès que la baisse débute ou dès que j’ai peur , en ce moment par exemple je viens de me mettre 25% cash et 25% ETF dans des ETF qui respectent a peu près la répartition sectorielle que je désire ( principalement VDY VRIF et XEI) , l’avantage avec ces ETF et que le market maker est toujours la pour acheter et ce quel que soit la quantité , le reste est réparti entre mines d’or (25%) et des gros titres comme BCE , Teck , energie renouvelable , pipelines et la aussi si le marché se mets a baisser ce sera une certaine sortie.
Lors de la descente de l’an passé je suis sorti du marché mais pas assez vite a mon gout et n’est pas envie de recommencer , parmi les gaffes juste avant les elections US j’ai eu peur , me suis mis cash a 30% et finalement j’ai racheté plus cher que j’ai vendu , j’ai vu ça comme une couteuse police d’assurances…
Je ne suis pas investisseur donc pas attaché aux companies et mes analyses sont plutot techniques (achat sur support) , aucune idée de leur perte ou benefices sauf que je me tiens pratiquement uniquement dans les grosses companies .
Même si je ne trade plus trop trop je me tiens avec des traders techniques et ce qui en ressort c’est que les portefeuilles d’une certaine taille sont aux environs de 25% liquide… mais eux aussi ne sont pas trop investisseurs fondamentaux , quand ils achetent au même moment est prise la décision du point de sortie et ce quel que soit le bord ou ça va virer…
J’aime bien le forum dans le sens ou il m’apporte une toute autre vision que je respecte tout a fait et me fait me rappeller certaines ventes que je regrette amèrement , un des plus beaux exemples etant sans doute AAPL , j’ai acheté 300 actions en 2000 aux environs de 40$ , pris un petit benefice et out , merci bonjour , en regardant les splits , j’aurais maintenant 4200 AAPL pour un montant de 500 000$ US , vu debuter ATD.b mais n’y ait pas cru …. Ainsi va ma vie boursière et d’un autre coté il y a eu de très bons coups surtout dans les mines d’or..
Bons investissements
Why Grantham Says the Next Crash Will Rival 1929, 2000
moment de vendre (ou non) une société exceptionnelle.
https://www.lesaffaires.com/blogues/philippe-leblanc/que-faire-avec-un-titre-qui-s-est-fortement-apprecie/627272
Il va peut-être avoir une récession. Mon feeling (et non mon analyse économie, car je n'en fais pas) me dit que c'est plus probable qu'improbable, mais ce n'est pas encore une certitude.
Je n'exclu pas une continuation de la baisse. Au-delà du risque de récession, les taux d'intérêts ont une influence importante sur les évaluations des actions et c'est difficile de juger jusqu'à quel niveau pourraient aller les taux d'intérêt; si le rendement des obligations de 10 ans est 6%, les ratios cours-bénéfices seront probablement plus bas qu'aujourd'hui.
Chose certaine, c'est très probable que s'il n'y a pas de récession, il pourrait y avoir un rallye à la hausse avec une hausse relativement important en relativement peu de temps et ce alors que le risque de récession ne sera pas complètement éclipsé à 100% au montant du rallye. S'il y a une récession, il y aura éventuellement aussi un rallye à la hausse avec une hausse relativement importante en relativement peu de temps alors qu'il y aura encore plein de mauvaises nouvelles et de mauvaises perspectives dans l'air et qu'on sera à la fin de la récession.
Peut-importe le scénario, il y aura pleins de petits investisseurs qui se vanteront d'avoir un haut pourcentage d'encaisse en portefeuille en disant qu'ils attendent le bon moment pour investir pour paraître sage et qui finiront par déployer leur encaisse après le rallye et rendu là ils vont commencer à craindre le prochain problème qui pourront faire trembler les marchés.
Je te taquine ;-)
Sam Zell sur cnbc , qui n'aime pas le marché présentement. On lui suggère que dans un contexte de grande inflation, le cash perd de la valeur rapidement .Alors être cash présentement c'est bon ou pas bon? Il dit que si la fed fait ce qu'elle dit qu'elle va faire ,Cela devrais enlevé 90 milliards/mois de liquidité . Cela fera que rapidement le marché devra faire avec beaucoup moins de liquidité. Dans l'anticipation de cela, être cash aujourd'hui est beaucoup mieux qu'il y a un ans.
Peut-importe le scénario ? Je suis d'accord avec toi a 80%, le 20% restant c'est ma liquidité (achat xus 66 fait, 57.5 ordre en attente, 48 en attente 42 en attente)