Moi aussi je pense qu'une récession serait le remède à bien des maux que nous vivons actuellement, comme l'inflation et la pénurie de biens et de main-d'oeuvre (même celle du système de santé).
Je connais pas beaucoup d'employeurs qui mettraient à pied leurs employés. Le déséquilibre au niveau de l'offre et de la demande d'employés continuera de générer des hausses de salaires, des hausses de revenus disponibles, une hausse de la demande pour les biens et les services, un déséquilibre au niveau de l'offre et de la demande des biens, une hausse de prix des biens, une hausse de l'inflation...
Je vois difficilement comment on peut s'en sortir autre qu'en haussant de façon majeur les taux d'intérêts pour que malgré des hausses salariales, qu'il n'y ait pas de hausse du revenu disponible. Avec les taux hypothécaire 5 ans, ça risque de prendre plusieurs années avant que la hausse des taux affectent tous les ménages endettés.
J'ai bien peur que ce sera une récession plus longue que ce qu'on est habitué depuis les dernières décennies.
J'en rajoute Je me souviens d'une réflexion d'Alan Greenspan dans les années 90 qu'il voyait dans sa boule de cristal une reprise de l'inflation et donc, que les taux devrais inévitablement revenir à la hausse. Il a reconnu quelques années plus tard avoir sous estimé les forces déflationniste qu'a entrainé la mondialisation (surtout Chine ).
On voit que les USA aujourd'hui, sont de moins en moins à l'aise de ne pas contrôler leur production dans plusieurs secteur. La congestion de la chaine d'approvisionnement, s'ajoute, la hausse des risques de conflits. Tout va très bien madame la marquise
Le fais de sous-traité presque tout en Chine à réussis à faire infléchir la courbe de l'inflation à la baisse depuis presque 20 ans. Déjà, on commençait à voir l'épuisement de cette effet, des compagnies commençais à revoir leur stratégie en se dirigeant dans d'autre pays pauvre. Donc en plus de ne plus avoir cette effet, on aurait l'inverse, soit la fin d'une mondialisation comme on la connait qui entrainerait à son tour, une influence positive sur l'inflation. La cerise sur le sunday, tempête parfaite.
Dans la rubrique, drôlement amusante, du, on cherche le bas des marchés! En mars j'entendais, c'est pas grave, ca va remonté. Maintenant, j'entend, c'est pas mal plate les marchés je suis un peu tanné. Donc la pomme n'est pas encore mure, mais ca avance. Dans un scénario qui ne vaut rien, mais qui est le mien, on devrais encore dévaluer encore plus, et avoir un bon shaking the tree (un cygne noir) et la tout ramasser.
En quoi une récession viendrait aider la pénurie de main-d'oeuvre dans le système de santé ?
C'est plate à dire, mais le plein emploi donne des portes de sortie à ceux qui n'aime pas leur travail. Les pertes d'emploi et la montée du chômage fermeraient des portes de sortie vers d'autres emplois. Et un emploi assuré attirerait de nouveaux candidat. Quand tu arrive à un point où soit tu accepte un travail que tu aime plus ou moins, soit tu perds ta maison, car incapable de payer ton hypothèque...
Dans un scénario qui ne vaut rien, mais qui est le mien, on devrais encore dévaluer encore plus, et avoir un bon shaking the tree (un cygne noir) et la tout ramasser.
Effectivement, dans la vraie vie, ce scénario n'a pas plus de chance de se réaliser qu'un billet de loto gagnant. Car, ou bien on est investi, et nous n'avons pas de liquidités pour profiter du cygne noir. Ou bien, en restant sur les lignes de côté, avec une partie ou la totalité de ses liquidités, en attente du cygne noir, on perd tous les mouvements haussiers, souvent soudains et imprévisibles, de la bourse. Avec, au final, une performance très en deça de la moyenne. Les seuls qui profitent d'un cygne noir sont ceux qui, par pur chance, ont investi de l'argent neuf au bon moment ou ceux qui, aussi par pur chance, arrivent comme nouvel investisseur au moment du cygne noir.
Mais même là, connaissez-vous beaucoup de gens qui investissent en bourse lors d'un cygne noir ? soit qu'ils continuent d'attendre, s'attendant à pire, ou encore qu'ils attendent que la bourse remonte, par crainte de perdre. En bourse, y'en a pas de facile.
Bernard: Les seuls qui profitent d'un cygne noir sont ceux qui, par pur chance, ont investi de l'argent neuf au bon moment ou ceux qui, aussi par pur chance, arrivent comme nouvel investisseur au moment du cygne noir.
Mais même là, connaissez-vous beaucoup de gens qui investissent en bourse lors d'un cygne noir ? soit qu'ils continuent d'attendre, s'attendant à pire, ou encore qu'ils attendent que la bourse remonte, par crainte de perdre. En bourse, y'en a pas de facile
La liquidité accumulé au moment d'exubérance des marchés rapporte 2.25% présentement. Le cygne noir, c'est la cerise sur le sunday mais les marchés peuvent très bien baisser de 50% sans catastrophe. Ce serait juste moins rapide.
Un moyen d'arrivé a investir sur un cygne noir, ou une baisse majeure c'est de se placé en ordre à un prix inferieur d'avance et de respecter cette décision prise dans le calme loin du bruit. C'est clair qu'écouter son feeling d'investisseur quand tout plante et que le négativisme est partout notre réflexe normal sera le --attendre voir--et on manque une belle entrée.
je n'accumule pas de liquidité au delà de de 20%. Les distribution et dividende sont réinvestis sans regard au cycle.
Je suis acheteur de xus autour de 58$, l'ordre antérieur à 66$ est déjà passé (10% de la liquidité total), l'ordre 58$ est en place et la liquidité de cette ordre ne rapporte rien (20% de la liquidité de départ). Le 70% restant en attente est dans le NBC100, présentement à 2.25%.
Peut être qu'a certain moment je marche moins vite, mais si je trébuche, je me relève aussi plus vite.
J' envisage 7% la progression de hausse moyenne /années de la bourse. Chaque ordre sera revu à la hausse en tenant compte de cette progression.
si l’ordre que tu as placé ne se réalise pas ?...Tans mieux, le marché est en hausse et je suis à l'aise avec 80% et plus, d'investis.
Une question en entraine une autre. Ceux qui prônent l'absence de liquidité ne considère jamais le marché en zone d'exubérance?
Je n’investis pas dans le marché mais dans des compagnies. Si un titre devient trop surévalué, je le remplace par un autre. Il serait exceptionnel de ne pas trouver dans le marché 15 à 20 belles compagnies raisonnablement évalué.
Si tu investis dans des indices,et que tu es prêt à sacrifier du rendement dans les mouvements haussiers qui ne reviennent pas en arrière, je comprends ta stratégie.
Vous en pensez quoi ? Pendant ce temps là Buffet à jamais autant acheté? 2 philosophies se confrontent
Au delà de l'inflation, la hausse des taux, récession technique etc. Ma principale crainte est la baisse temporaire des bénéfices qui va sûrement entraîner une contraction des ratios (on la vu dans le secteur techno). Un bel article sur cote 100 (P Leblanc) sur le sujet. Pour ma part encore pleinement investi mais peu confiant à court terme (et même moyen terme)
Bill Ackman donnait une explication simpliste et relativement valable de mon point de vu.
Tant que la fed sera dans l'obligation de monter les taux, cela mettra de la pression sur les marchés. Quand on aura atteint la stabilisation et qu'on envisagera une baisse des taux, ce sera positif . La grande question est, de combien de temps d'avance le marché anticipera ce point car évidemment lorsque ce point sera atteint, le marché sera déjà en reprise depuis longtemps.
Je me souviens il y a plusieurs années, d'avoir conseillé une amie. Les taux d'hypothèque offrait pour la première fois un taux à 6%. Si j'étais toi, je prendrais ce taux pour 10 ans. Ce conseille étais de bonne fois, du jamais vu, probablement que ca ne reviendra pas pensais je, on connais la suite.
Je me souviens de donner mon opinion à un copain qui pensait acheter une maison , il y a 8 ans: Le marché monte trop, besoin de rééquilibrage. trop cher à mon avis, pas de presse à acheter...
Les extrême sont toujours plus extrême que je le pense, d'un coté comme de l'autre. Mon conseille à un ami avec un assurance certaine, sur weed à 10$ :touche pas à ca avec une perche de 30 pieds. J'avais raison, il a quand même passer par 70 par la suite.
Probablement qu'il m'ont pas écouter et c'est une bonne chose. Incroyable comment après des années à suivre ca, je m'étonne encore. Tout est question de perception.
On entend, il faut être dans le marché car si vous avez manqué les 10 jours les plus payant de l'années, vous avez manqué tout le rendement de l'années au complet.
Pas la certitude qu'on devrais encourager cette vision ,car l'inverse est aussi vrai. Si j,avais manqué les 10 pires journées de l'années, mon ptf n'aurais pas baisser du tout.
On entend, il faut être dans le marché car si vous avez manqué les 10 jours les plus payant de l'années, vous avez manqué tout le rendement de l'années au complet.
Pas la certitude qu'on devrais encourager cette vision ,car l'inverse est aussi vrai. Si j,avais manqué les 10 pires journées de l'années, mon ptf n'aurais pas baisser du tout.
La meilleure façon de manquer, à la fois les meilleures, et les pires, c'est de ne pas être investi. Les CPG, les obligations, les produits à capital garanti sont alors des alternatives pour bien dormir. Mathématiquement, au long cours, la bourse est haussière. Donc, si on veut profiter des rendements de la bourse, il faut aussi accepter sa volatilité. Sinon, bonne chance dans l'univers cruel du market timing.
J'aime
dire qu'avec tous les problèmes dans le monde au niveau de l'endettement et de
l'inflation, le scénario qui me semble le plus réaliste selon mon feeling, mais
aussi logiquement, c'est des rendements plus faibles que ce qu'il y a eu dans le
passé, mais des rendements tout de même positifs. Dans ce scénario, il devient
très coûteux de manquer son coup dans une stratégie de market timing.
D'ailleurs
Jeremy Siegel estime que le rendement des actions sera de 6% dans la présente
décennie. Si le marché est très négatif au niveau des fondataux, un rallye de
10% à la hausse peut rapidement se produire et un investisseur qui fait du
market timing peu manquer du rendement qu'il ne refera jamais.
Je
ne dis pas que c'est impossible qu'il y ait quelque part un investisseur qui sur
de nombreuses années à très bien exécuté une stratégie de market timing, mais
cet investisseur est fort probablement une exception.
Ce qui va être à surveiller dans les prochaines semaines, c'est l'ampleur de la dégradation des résultats des entreprises. On a déjà un avant-goût inquiétant avec Fedex, Carmax, Carnival et Nike. Mais bon, l'échantillon est encore mince.
Si les résultats ne se dégradent pas trop, il y a peut-être un potentiel de rebond mais c'est un gros "si". Sinon, on se retrouve dans une situation ou les multiples se compressent (hausse des taux d'intérêt) et les résultats se dégradent... Un one-two punch qui va faire mal aux actions.
Si qqun veut acheter présentement, il est mieux de s'assurer d'inclure une dégradation des résultats ou une baisse de la croissance dans ses hypothèses. Personnellement, je suis en mode "attente des résultats du 3e trimestre". Il faut aussi garder à l'esprit que si un marché peut exagérer à la hausse, il peut aussi exagérer à la baisse....
À
l'opposé, comme tu le sais, il ne faut pas oublier que plus le sentiment est négatif et plus il y
a eu une accumulation de mauvaises nouvelles, plus il est possible que la moindre bonne nouvelle est
susceptible de générer un mouvement haussier rapide et important.
Ensuite, ça ne veut pas dire qu'un mouvement haussier rapide signifie que le creux a été
atteint. Toutefois la plupart du temps le creux est marqué par un mouvement
haussier rapide et important.
En fait, si on considère que grosso modo le marché augmente historiquement de 7% par années, on peut rajouter à la baisse-correction un autre 5% depuis le début de l'année. Donc on est maintenant autour d'un équivalent de 30% de baisse. On commence à jaser
Octobre, ce mois souvent casse gueule, est maintenant derrière nous. Les résultats du 3e trimestre sont maintenant connues pour beaucoup de compagnies. Et le SP500 s’est relevé de 10% depuis le creux du 13 octobre. Le rallye de Noël serait-il déjà commencé depuis 2 semaines ? Réponse d’ici la fin décembre.
Si les conditions géopolitiques n évoluent pas, je pense à un rallye jusqu'à janvier et une baisse jusqu a mai juin pour une reprise après ce creux de marché.
La réaction du marché montre à nouveau la nature maniaco-dépressive de la Bourse
C'était des bonnes nouvelles au niveau de l'inflation et le marché pense que la FED ralentira ses hausses de taux (Le début de la fin pour la hausse des taux et possiblement une baisse des taux une fois l'inflation sous contrôle). C'est clair pour moi que dès que l'inflation sera contrôlée, les banques centrales vont tout faire pour ramener les taux aussi près de 0 que possible, car nous sommes sur endettés.
On n'a pas encore vu l'effet de la hausse des taux sur l'économie ce qui me laisse croire que c'est peut-être pas encore le début d'un nouveau marché haussier, mais on est certainement très près du bas (si on l'a pas déjà atteint). En moyenne un marché baissé dure 9 mois et ça fait a peu près 9 mois qu'on est dans celui-là.
D'ailleurs, Peter Lynch disait que le meilleur moment pour acheter c'est quand personne ne veut parler de la bourse, avez-vous remarqué comment les gens étaient peu loquaces sur ce forum ces dernières semaines ? Avant ce marché baissier, il était rare de voir une journée sans aucun post alors que dans les dernières semaines, ça arrivait régulièrement de ne pas voir de post pendant 2-3 jours de suite.
Réponses
Je me souviens d'une réflexion d'Alan Greenspan dans les années 90 qu'il voyait dans sa boule de cristal une reprise de l'inflation et donc, que les taux devrais inévitablement revenir à la hausse. Il a reconnu quelques années plus tard avoir sous estimé les forces déflationniste qu'a entrainé la mondialisation (surtout Chine ).
On voit que les USA aujourd'hui, sont de moins en moins à l'aise de ne pas contrôler leur production dans plusieurs secteur. La congestion de la chaine d'approvisionnement, s'ajoute, la hausse des risques de conflits. Tout va très bien madame la marquise
Le fais de sous-traité presque tout en Chine à réussis à faire infléchir la courbe de l'inflation à la baisse depuis presque 20 ans. Déjà, on commençait à voir l'épuisement de cette effet, des compagnies commençais à revoir leur stratégie en se dirigeant dans d'autre pays pauvre. Donc en plus de ne plus avoir cette effet, on aurait l'inverse, soit la fin d'une mondialisation comme on la connait qui entrainerait à son tour, une influence positive sur l'inflation.
La cerise sur le sunday, tempête parfaite.
Dans la rubrique, drôlement amusante, du, on cherche le bas des marchés! En mars j'entendais, c'est pas grave, ca va remonté. Maintenant, j'entend, c'est pas mal plate les marchés je suis un peu tanné. Donc la pomme n'est pas encore mure, mais ca avance. Dans un scénario qui ne vaut rien, mais qui est le mien, on devrais encore dévaluer encore plus, et avoir un bon shaking the tree (un cygne noir) et la tout ramasser.
Effectivement, dans la vraie vie, ce scénario n'a pas plus de chance de se réaliser qu'un billet de loto gagnant. Car, ou bien on est investi, et nous n'avons pas de liquidités pour profiter du cygne noir. Ou bien, en restant sur les lignes de côté, avec une partie ou la totalité de ses liquidités, en attente du cygne noir, on perd tous les mouvements haussiers, souvent soudains et imprévisibles, de la bourse. Avec, au final, une performance très en deça de la moyenne.
Les seuls qui profitent d'un cygne noir sont ceux qui, par pur chance, ont investi de l'argent neuf au bon moment ou ceux qui, aussi par pur chance, arrivent comme nouvel investisseur au moment du cygne noir.
En bourse, y'en a pas de facile.
En bourse, y'en a pas de facile
La liquidité accumulé au moment d'exubérance des marchés rapporte 2.25% présentement. Le cygne noir, c'est la cerise sur le sunday mais les marchés peuvent très bien baisser de 50% sans catastrophe. Ce serait juste moins rapide.
Un moyen d'arrivé a investir sur un cygne noir, ou une baisse majeure c'est de se placé en ordre à un prix inferieur d'avance et de respecter cette décision prise dans le calme loin du bruit. C'est clair qu'écouter son feeling d'investisseur quand tout plante et que le négativisme est partout notre réflexe normal sera le --attendre voir--et on manque une belle entrée.
Je suis acheteur de xus autour de 58$, l'ordre antérieur à 66$ est déjà passé (10% de la liquidité total), l'ordre 58$ est en place et la liquidité de cette ordre ne rapporte rien (20% de la liquidité de départ). Le 70% restant en attente est dans le NBC100, présentement à 2.25%.
Peut être qu'a certain moment je marche moins vite, mais si je trébuche, je me relève aussi plus vite.
J' envisage 7% la progression de hausse moyenne /années de la bourse. Chaque ordre sera revu à la hausse en tenant compte de cette progression.
si l’ordre que tu as placé ne se réalise pas ?...Tans mieux, le marché est en hausse et je suis à l'aise avec 80% et plus, d'investis.
Une question en entraine une autre. Ceux qui prônent l'absence de liquidité ne considère jamais le marché en zone d'exubérance?
Vous en pensez quoi ? Pendant ce temps là Buffet à jamais autant acheté? 2 philosophies se confrontent
Au delà de l'inflation, la hausse des taux, récession technique etc. Ma principale crainte est la baisse temporaire des bénéfices qui va sûrement entraîner une contraction des ratios (on la vu dans le secteur techno). Un bel article sur cote 100 (P Leblanc) sur le sujet. Pour ma part encore pleinement investi mais peu confiant à court terme (et même moyen terme)
Tant que la fed sera dans l'obligation de monter les taux, cela mettra de la pression sur les marchés. Quand on aura atteint la stabilisation et qu'on envisagera une baisse des taux, ce sera positif . La grande question est, de combien de temps d'avance le marché anticipera ce point car évidemment lorsque ce point sera atteint, le marché sera déjà en reprise depuis longtemps.
https://www.lesaffaires.com/bourse/revue-des-marches/bourse-13-09-2022/635908?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=le-bilan_13-septembre-2022&oft_id=108589065&oft_k=IxYO5zr9&oft_lk=Wj6AMO&oft_d=637986875242200000&fpid=33337&m32_fp_id=dfZ9wT&ctx=newsletter&m32_fp_ctx=DI_MASTER_Relational
Tout est question de perception:
Les marchés anticipaient une hausse de l'inflation de 8%, elle est sorti à 8.3%
Je me souviens de donner mon opinion à un copain qui pensait acheter une maison , il y a 8 ans: Le marché monte trop, besoin de rééquilibrage. trop cher à mon avis, pas de presse à acheter...
Les extrême sont toujours plus extrême que je le pense, d'un coté comme de l'autre. Mon conseille à un ami avec un assurance certaine, sur weed à 10$ :touche pas à ca avec une perche de 30 pieds. J'avais raison, il a quand même passer par 70 par la suite.
Probablement qu'il m'ont pas écouter et c'est une bonne chose. Incroyable comment après des années à suivre ca, je m'étonne encore. Tout est question de perception.
On a atteint un nouveau creux en cours de journée. Comme quoi la majorité n'a pas toujours tort !
On entend, il faut être dans le marché car si vous avez manqué les 10 jours les plus payant de l'années, vous avez manqué tout le rendement de l'années au complet.
Pas la certitude qu'on devrais encourager cette vision ,car l'inverse est aussi vrai. Si j,avais manqué les 10 pires journées de l'années, mon ptf n'aurais pas baisser du tout.
Mathématiquement, au long cours, la bourse est haussière. Donc, si on veut profiter des rendements de la bourse, il faut aussi accepter sa volatilité. Sinon, bonne chance dans l'univers cruel du market timing.
J'aime dire qu'avec tous les problèmes dans le monde au niveau de l'endettement et de l'inflation, le scénario qui me semble le plus réaliste selon mon feeling, mais aussi logiquement, c'est des rendements plus faibles que ce qu'il y a eu dans le passé, mais des rendements tout de même positifs. Dans ce scénario, il devient très coûteux de manquer son coup dans une stratégie de market timing.
D'ailleurs Jeremy Siegel estime que le rendement des actions sera de 6% dans la présente décennie. Si le marché est très négatif au niveau des fondataux, un rallye de 10% à la hausse peut rapidement se produire et un investisseur qui fait du market timing peu manquer du rendement qu'il ne refera jamais.
Wharton professor Jeremy Siegel says predictions of a lost decade in the stock market are unfounded and 6% annual returns are likely after inflation (msn.com)
Je ne dis pas que c'est impossible qu'il y ait quelque part un investisseur qui sur de nombreuses années à très bien exécuté une stratégie de market timing, mais cet investisseur est fort probablement une exception.
Si les résultats ne se dégradent pas trop, il y a peut-être un potentiel de rebond mais c'est un gros "si". Sinon, on se retrouve dans une situation ou les multiples se compressent (hausse des taux d'intérêt) et les résultats se dégradent... Un one-two punch qui va faire mal aux actions.
Si qqun veut acheter présentement, il est mieux de s'assurer d'inclure une dégradation des résultats ou une baisse de la croissance dans ses hypothèses. Personnellement, je suis en mode "attente des résultats du 3e trimestre". Il faut aussi garder à l'esprit que si un marché peut exagérer à la hausse, il peut aussi exagérer à la baisse....
À l'opposé, comme tu le sais, il ne faut pas oublier que plus le sentiment est négatif et plus il y a eu une accumulation de mauvaises nouvelles, plus il est possible que la moindre bonne nouvelle est susceptible de générer un mouvement haussier rapide et important.
Ensuite, ça ne veut pas dire qu'un mouvement haussier rapide signifie que le creux a été atteint. Toutefois la plupart du temps le creux est marqué par un mouvement haussier rapide et important.
En fait, si on considère que grosso modo le marché augmente historiquement de 7% par années, on peut rajouter à la baisse-correction un autre 5% depuis le début de l'année. Donc on est maintenant autour d'un équivalent de 30% de baisse. On commence à jaser
L'inflation est sortie à 7.7%
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1931704/washington-inflation-ralentissement
Un gros 0.2% de différence !
La réaction du marché montre à nouveau la nature maniaco-dépressive de la Bourse