Ça fait longtemps qu'on a pas parlé des chouchous et des rejets...
Après 10 mois :
1. Les chouchous - 2.2 %
2. Les super rejets - 6.8 %
3. Les rejets - 12.3 %
Les meilleurs choix :
CRH Medical +114% (Jason Donville)
Omni-LIte +66% (eddyc)
Constellation +63% (polangevin)
Wanted Techno +32% (francois)
Sberbank russia +32% (tof)
Le musée des horreurs :
Loyalist (KGIC) - 88 %
Republic airways - 59%
Microbix - 58 %
Chesapeake - 54 %
Biosyent - 40 %
Pacific Health C - 39 %
Rifco - 38 %
xpel - 35 %
autocanada - 33 %
Home Capital - 32 %
Question d'essayer d'aider un de mes choix chouchou, nous avons publié une thèse sur Microbix sur le blogue Espace MicroCaps. Je partage ici pour ceux que ça peux intéresser:
Bien sûr, quand on tient compte de la devise, les rendements anémiques de cette année font meilleure figure. Mais c'est une illusion. De par les fluctuations de devises, le rendement de cette année va nécessairement faire place à une perte, tôt ou tard. Personnellement, avec un $ à 74 cents je vais probablement dans les prochains mois diminuer mon % de titres US, de 50 50 à peut être 40 60. Donc un peu de gains de devises mais rien de bien spectaculaire non plus.
Je crois qu'il ne faut pas trop aller dans la simplicité avec les devises. Je possède un titre que j'ai payé en dollar canadien et dont 100% des revenus de l'entreprise sont en dollar américain. Un exportateur américain pourrait profiter d'une éventuelle baisse du dollar américain qui ferait augmenter leurs exportations en volume ainsi que leurs revenus en devises étrangères une fois convertis en dollars américains. Il y a donc la fluctuation des devises au niveau de l'investisseur et celle au niveau de l'entreprise. Les deux peuvent s'autocorriger en partie ou en totalité de façon un peu abstraite.
Au contraire les fluctuations de devise peuvent permettre à un investisseur de magnifier son rendement. La bourse américaine ayant porté ses fruits dans les dernières années, j'ai commencé à liquider progressivement mon portefeuille en USD pour le rapatrier suur des titres qui se transigent en devises malmenées par la crise des matières premières (CAD et AUD).
Je pense qu'il est encore un peu tôt pour faire un "all-in" car la devise US devrait à mon avis encore s'apprécier versus le CAD avec le différenciel de taux à prévoir à court/moyen terme (hausses de la FED en décembre et encore en 2016).
Mais clairement avec la débandade actuelle du marché canadien, les aubaines commencent à poindre.
C'est sur que quelqu'un qui utilise l'approche buy-and-hold à long terme n'est pas affecté par les devises. Chacun son style d'investissement.
Je n'ai pas écrit que c'était impossible de le faire. Je veux seulement apporter une nuance entre la devise payée pour le titre et la devise dans laquelle l'entreprise tire la majorité de ses revenus. Ainsi un Canadien qui a investi dans Boyd, Couche-Tard ou Milestone Apartments a davantage profité de l'appréciation du dollar américain qu'un Canadien qui a investi dans une entreprise américaine comme Apple dont plus ou moins 50% de leurs revenus proviennent des États-Unis.
Par curiosité, dans quel genre d'entreprise australienne investis-tu?
Réponses
Les rendement ne tiennent pas compte du taux de change.
Question d'essayer d'aider un de mes choix chouchou, nous avons publié une thèse sur Microbix sur le blogue Espace MicroCaps. Je partage ici pour ceux que ça peux intéresser:
Microbix Biosystems Inc. (MBX.TO) - Une compagnie de biotechnologie sous-évaluée avec deux billets de loterie gratuits
Personnellement, avec un $ à 74 cents je vais probablement dans les prochains mois diminuer mon % de titres US, de 50 50 à peut être 40 60. Donc un peu de gains de devises mais rien de bien spectaculaire non plus.
Je crois qu'il ne faut pas trop aller dans la simplicité avec les devises. Je possède un titre que j'ai payé en dollar canadien et dont 100% des revenus de l'entreprise sont en dollar américain. Un exportateur américain pourrait profiter d'une éventuelle baisse du dollar américain qui ferait augmenter leurs exportations en volume ainsi que leurs revenus en devises étrangères une fois convertis en dollars américains. Il y a donc la fluctuation des devises au niveau de l'investisseur et celle au niveau de l'entreprise. Les deux peuvent s'autocorriger en partie ou en totalité de façon un peu abstraite.
Je n'ai pas écrit que c'était impossible de le faire. Je veux seulement apporter une nuance entre la devise payée pour le titre et la devise dans laquelle l'entreprise tire la majorité de ses revenus. Ainsi un Canadien qui a investi dans Boyd, Couche-Tard ou Milestone Apartments a davantage profité de l'appréciation du dollar américain qu'un Canadien qui a investi dans une entreprise américaine comme Apple dont plus ou moins 50% de leurs revenus proviennent des États-Unis.
Par curiosité, dans quel genre d'entreprise australienne investis-tu?
Avec l'impact de la hausse du $us vis à vis le $can et des dividendes (merci @iSmile)