même si c'est un petit pourcentage, c'est mieux que rien. Par exemple, je suis bien content qu'il y ait des aubaines pour ma nouvelle contribution CELI, même si ça ne représente pas le même pourcentage de mon portefeuille qu'il y a 5 ans. Pour ma part, je me vois être un acheteur net jusqu'à mes 50 ans Isch...
Ça n'a rien de scientifique mais pour moi il faut préférer une baisse des cours lorsque notre ajoût de capital en pourcentage est plus élevé que notre rendement annuel moyen. Ainsi, pour un capital de 100 000$ et que ton rendement moyen des 7 dernières années est de 12%, tu dois ajouter plus de 12 000 $(genre comme) pour préférer une baisse des cours.
Ok, mais je ne suis pas de cet avis. Je serais ravi que tous les titres soient au même niveau dans 5 ans qu'ils le sont actuellement. Ça vaudrait dire 2 choses pour moi: - que chaque nouveau dollar investi pourra me permettre d'acheter l'entreprise à meilleur prix par rapport à ses revenus / profits - que chaque dollar utilisé par l'entreprise pour racheter de ses actions se fera à l'avantage de ses actionnaires.
Ceci est en supposant que les entreprises continueront à faire croître leur revenu et profit pendant cette période.
J'ai fait un important graphique sur mon napperon du déjeuner et j'observe que si la tendance se maintient (-5%/semaine), le S&P 500 aura perdu la totalité de sa valeur dans la semaine du 23 mai. @-)
Tiré de la chronique de Dominique Beauchamp dans Les affaires :
Seulement 18% des investisseurs sondés mercredi par l’American Association of Individual Investors (AAII) prévoient une hausse des actions. Il s’agit du plus bas niveau depuis avril 2005 et se compare à une proportion de 19%, pendant la crise de 2008.
Une opinion de la toujours très brillante Liz Ann Sonders de Schwab :
The S&P 500 Index closed 2015 down a scant 0.7%, but many stocks lost much more. The overall market was held up by good performance by a handful of extremely popular stock—a phenomenon known as narrowing breadth and often a troublesome sign for equities. No doubt, some of the selling seen to start the year can be attributed to some profit taking in some of those winners.
However, there is a glimmer of hope following the running to go nowhere action of 2015. Since 1970 there have been six “flat” years for the S&P 500 (-2% to +2%), and following those years, the Index returned between 11-34%, which if it holds true would be substantially better than most predictions on the Street. But geopolitical issues, some profit taking, and global growth concerns have contributed to a rough start. Despite this, we don’t believe the long-running bull market is ready to die just yet. As legendary investor John Templeton noted, “Bull markets are born on pessimism, grow on skepticism, mature on optimism, and die on euphoria.” US equity markets seem a long way from euphoria, and much closer to skepticism. We anticipate further volatility and greater frequency of pullbacks; but barring an economic recession, we think a bear market will be avoided and that stock will ultimately break to the upside.
Bon bien cette correction vient d'avoir un impact majeur pour moi: J'ai épuisé toute mes liquidités et je n'ai pas pu m'empêcher d'acheter sur marge aujourd'hui pour la première fois depuis 2009!
Je n'aime pas utiliser le levier mais là mon coût d'emprunt vs les rendements espérés de plusieurs de mes titres sont ont pris un écart trop intéressant. J'ai aussi pu faire passer des watch-list de l'autre côté.
Le pire c'est que fin décembre je n'ai rien suggéré pour le portefeuille du forum parce que je n'étais preneur de rien et aujourd'hui la liste serais longue. Le temps passe vite ces temps-ci en bourse.
Je m'attendais à pire que ça en ouvrant mon Google portfolio pour voir les cotations ce soir ! J'avais lu -3% sur le forum ce midi,
J'essaye de mettre en application les conseils de M. Leblanc à propos de regarder moins les cotations et lire plutot sur nos entreprises. Ça atténue l'effet de la fin du monde
Il y a Berkshire qui continue de se rapprocher de la zone de rachat près de 121$ suite au résultat du T3. Qui sait suivant Fin décembre T4 elle est peut-être rendu à 122-123$ environ.
Je me console en me disant que Apple et Richelieu ont peut-être l"opportunité de faire des Rachats d'actions.
Un peu dans le jus en ce moment mais pour répondre à un vieux pot du webfin...
Je ne change pas de $US tant que ça chute brutal alors en US avec mes liquidités j'ai acheté SFBS, BBY, DTEA mais surtout AME et ESRX.
EN $can j'aime bien quand ça corrige ramasser des panique sur des titres que j'adore avec un gros spread et j'ai réussi a renforcer LGT.B (j'aime bien la business caché des gaines de tuyau qui croit à plus de 30%), HCG, BAD et j'ai initié DOL ce qui a achevé de me dépoché.
Sur marge je suis plus frileux sur le risque d'affaire mais quand je vois des incongruités j'y vais massivement comme aujourd'hui avec BNS. (WFC en 2009)Mon raisonnement est très simple:
Pourquoi acheter sur marges un immeuble à revenu à 15X les revenus quand le marché me lance une big6 à 9X les profits? Sans compter que le div de 5.5% me laisse cash flow positif après remboursement complet de mes intérêts?? Et que si le marché immobilier s'effondre au Canada comme semble l'indiquer le cour de HCG en ce moment c'est moi qui ramasse les clés de la bâtisse???
NB: je préfère tout de même: BAC, WFC, JPM, GS, SBNY, OZRK et SFBS que je possèdent tous mais je ne veux pas changer de devises sur marge en ce moment.
Je suis tombé sur ce fil par hasard en faisant une recherche sur le forum et j'ai trouvé ça amusant de le relire.
Perso, je ne me rappelais même plus que le marché avait planté durement en janvier 2016 ! Et ça fait juste deux ans... Ça met en perspective les baisses de marché... (ou c'est juste moi qui devient Alzheimer...)
Ma question : combien d'entre vous se rappelle de ça ?
Je ne me rappelle pas avoir eu quelque crainte que ce soit. J'avais commencé depuis quelques mois seulement, donc j'avais pas mal plus de liquidités que de titres. Je me rappelle avoir acheté MTY pour vraiment pas cher en février 2016 Je pense que j'ai acheté Richelieu pas longtemps après, en avril. Et je me rappelle qu'il y a une semaine en Février 2016 où on était tellement dans le jus au bureau, pas le temps de dîner, que j'ai manqué quelques occasions d'achat.
Je ne sais pas si c'était en janvier-février 2016, mais autour de cette époque Berkshire a baissé vraiment bas, je l'ai vu vers 124$ USD alors que j'en possédais déjà un peu que j'avais acheté à 135$ USD. Le cours était pas mal proche du prix de rachat que Buffett mentionnait dans sa lettre annuelle. J'ai fait la gaffe de demander son avis à mon boss (qui était aussi investisseur et un ancier courtier) qui m'a dit de ne pas en acheter, qu'il ne comprennait pas cette société, que j'étais mieux d'acheter des fonds, etc. J'aurais eu une transaction de change à faire avant d'acheter BRK.B, finalement j'ai laissé tomber et j'en ai pas acheté. La majorité des erreurs d'investissement que j'ai fait ça a été en écoutant les autres. Je connaissais Berkshire mieux que lui, j'aurias dû m'écouter. Je m'en rappelle encore! J'espère moins faire cette erreur à l'avenir.
Tu as raison Sophie quand tu parles qu’il ne faut pas écouter les autres. Pendant la crise de 2008 Sotheby’s est descendu sous 7$. C’est le genre de compagnie que j’aime parce qu’elle nécessite peu de capitaux pour croître et à un moat créé par son réseau et sa réputation. Sachant que François Rochon connais bien le domaine de l’art, j’ai profité de la rencontre annuelle de Giverny pour lui en parler. Il m’a convaincu que ce n’était pas un bon achat à long terme. Aujourd’hui le titre est à plus de 50$.
Pour revenir à la question de Phil, non je ne me rappelle pas de la baisse de janvier 2016.
Je m'en souviens très bien car c'est là que mon fils a commencer à investir. Je lui ai dit Go! C'est le bon temps quand tout le monde panique et que tu en entends parler à la télé comme si c'était l'apocalypse.
Réponses
Pour ma part, je me vois être un acheteur net jusqu'à mes 50 ans Isch...
Ainsi, pour un capital de 100 000$ et que ton rendement moyen des 7 dernières années est de 12%, tu dois ajouter plus de 12 000 $(genre comme) pour préférer une baisse des cours.
- que chaque nouveau dollar investi pourra me permettre d'acheter l'entreprise à meilleur prix par rapport à ses revenus / profits
- que chaque dollar utilisé par l'entreprise pour racheter de ses actions se fera à l'avantage de ses actionnaires.
Ceci est en supposant que les entreprises continueront à faire croître leur revenu et profit pendant cette période.
The S&P 500 Index closed 2015 down a scant 0.7%, but many stocks lost much more. The overall market was held up by good performance by a handful of extremely popular stock—a phenomenon known as narrowing breadth and often a troublesome sign for equities. No doubt, some of the selling seen to start the year can be attributed to some profit taking in some of those winners.
However, there is a glimmer of hope following the running to go nowhere action of 2015. Since 1970 there have been six “flat” years for the S&P 500 (-2% to +2%), and following those years, the Index returned between 11-34%, which if it holds true would be substantially better than most predictions on the Street. But geopolitical issues, some profit taking, and global growth concerns have contributed to a rough start. Despite this, we don’t believe the long-running bull market is ready to die just yet. As legendary investor John Templeton noted, “Bull markets are born on pessimism, grow on skepticism, mature on optimism, and die on euphoria.” US equity markets seem a long way from euphoria, and much closer to skepticism. We anticipate further volatility and greater frequency of pullbacks; but barring an economic recession, we think a bear market will be avoided and that stock will ultimately break to the upside.
Wishfull thinking? >-
Bonne semaine à tous.
Je m'attendais à pire que ça en ouvrant mon Google portfolio pour voir les cotations ce soir ! J'avais lu -3% sur le forum ce midi,
J'essaye de mettre en application les conseils de M. Leblanc à propos de regarder moins les cotations et lire plutot sur nos entreprises. Ça atténue l'effet de la fin du monde
Il y a Berkshire qui continue de se rapprocher de la zone de rachat près de 121$ suite au résultat du T3. Qui sait suivant Fin décembre T4 elle est peut-être rendu à 122-123$ environ.
Je me console en me disant que Apple et Richelieu ont peut-être l"opportunité de faire des Rachats d'actions.
Le fait sa majorité des ventes sont Cdn, ça compensera la perte de valeur du $ Us.
Pour revenir à la question de Phil, non je ne me rappelle pas de la baisse de janvier 2016.