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Tendances et statistiques

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Réponses

  • Je suis surpris par le niveau élevé de liquidité des investisseurs rapporté dans cet article:

    https://finance.yahoo.com/news/are-investors-hoarding-cash-ubs-sentiment-survey-191247204.html
  • Avec des taux d'intérêt aussi bas c'est surprenant.
  • CatCat
    mai 2021 modifié Vote Up0Vote Down
    voici un tableau très visuel montrant le rendement des différents classes d'actifs de 2006 à 2020.

    https://novelinvestor.com/asset-class-returns/


  • octobre 2021 modifié Vote Up2Vote Down
    J’aime bien lire la chronique de Philippe Leblanc dans Les Affaires mais celle d’aujourd’hui montre bien que lorsqu’on prend une date bien précise avec une valeur du marché, on peut amener le point qu’on veut. Il mentionne que depuis le creux de 2009, le rendement total annuel (incluant dividende) est de 18%. 

    Je me suis amusé en prenant une autre période, si on prend le rendement annuel sur 15 ans, le S&P 500 était à 1400 (1er août 2006) et maintenant à 4357 pour un rendement annuel de 8%. A cela, nous ajoutons environ 2% en dividende. 
    Donc en prenant 15 ans, nous obtenons environ 10% et 12 ans précisément avec le creux, 18%.
    Je ne veux pas dire que le marché est peu dispendieux ou qu’il est dispendieux mais qu’il faut faire attention aux dates que les gens prennent pour avancer leur point de vue.

    https://www.lesaffaires.com/blogues/philippe-leblanc/le-retour-vers-la-moyenne/627717

    Qu’en pensez vous ? Est-ce que ça vous arrive de lire ce type d’analyse ou commentaire ?
  • Je lis souvent LeBlanc, car j'aime bien sa philosophie d'investissement. Je dois avouer par contre que je n'y apprend pas de nouvelles méthodes pour investir et qu'il revient toujours sur les mêmes concepts.

    Toutefois, la lecture de ses articles me permet de rester concentré sur de bons principes d'investissement: cie rentables, en croissance, peu endettées, gestionnaires honnêtes et tournés vers les actionnaires et une belle marge de sécurité.

    Pour les chiffres, les tendances, les écarts quotidiens, les vedettes du moment etc. j'en prends et j'en laisse (j'en laisse surtout!) que ce soit LeBlanc ou un autre ce n'est que du bruit.
  • Et en plus tant qu'a choisir sa période, si on prend sur 20 ans, le S&P500 a fait 7,4% par année, soit bien moins que sa performance historique. 

    Ça fait 20 ans que j'investi en bourse et honnêtement, peu importe ce que fait le marché, faut plutôt chercher à investir dans des compagnies qui vont croitre longtemps à un rythme raisonnable sans les payer trop chère.  Le reste importe peu.
  • Je lis souvent LeBlanc, car j'aime bien sa philosophie d'investissement. Je dois avouer par contre que je n'y apprend pas de nouvelles méthodes pour investir et qu'il revient toujours sur les mêmes concepts.

    A mon sens, il est tout simplement fidèle à sa philosophie d'investissement de départ.

  • Olorrain a dit :
    J’aime bien lire la chronique de Philippe Leblanc dans Les Affaires mais celle d’aujourd’hui montre bien que lorsqu’on prend une date bien précise avec une valeur du marché, on peut amener le point qu’on veut. Il mentionne que depuis le creux de 2009, le rendement total annuel (incluant dividende) est de 18%. 

    Je me suis amusé en prenant une autre période, si on prend le rendement annuel sur 15 ans, le S&P 500 était à 1400 (1er août 2006) et maintenant à 4357 pour un rendement annuel de 8%. A cela, nous ajoutons environ 2% en dividende. 
    Donc en prenant 15 ans, nous obtenons environ 10% et 12 ans précisément avec le creux, 18%.
    Je ne veux pas dire que le marché est peu dispendieux ou qu’il est dispendieux mais qu’il faut faire attention aux dates que les gens prennent pour avancer leur point de vue.
    A mes débuts, j'étais investi dans des fonds mutuels.
    Certains de leurs rapports se comparaient à une moyenne de toutes les périodes possibles de X années pendant Y années

    Exemple:
    Septembre 2016 à Septembre 2021: Rendement de R1% annuel
    Aout 2016 à Août 2021                  : Rendement de R2% annuel
    Juillet 2016 à Juillet 2021               : Rendement de R3% annuel
    etc...

    Et on fait une moyenne avec R1, R2... RN

    Cela réduit le biais que peut apporter le choix d'une date précise.
    Je trouve ça une bonne idée.

  • mistert a dit :
    Je lis souvent LeBlanc, car j'aime bien sa philosophie d'investissement. Je dois avouer par contre que je n'y apprend pas de nouvelles méthodes pour investir et qu'il revient toujours sur les mêmes concepts.

    A mon sens, il est tout simplement fidèle à sa philosophie d'investissement de départ.

    En effet, c'est ce qui je dis plus loin dans mon commentaire. J'y apprend peu, mais ca me permet de rester concentré sur les principes de base. Un rappel ne fait jamais tort  :)
  • mistert a dit :
    Olorrain a dit :
    J’aime bien lire la chronique de Philippe Leblanc dans Les Affaires mais celle d’aujourd’hui montre bien que lorsqu’on prend une date bien précise avec une valeur du marché, on peut amener le point qu’on veut. Il mentionne que depuis le creux de 2009, le rendement total annuel (incluant dividende) est de 18%. 

    Je me suis amusé en prenant une autre période, si on prend le rendement annuel sur 15 ans, le S&P 500 était à 1400 (1er août 2006) et maintenant à 4357 pour un rendement annuel de 8%. A cela, nous ajoutons environ 2% en dividende. 
    Donc en prenant 15 ans, nous obtenons environ 10% et 12 ans précisément avec le creux, 18%.
    Je ne veux pas dire que le marché est peu dispendieux ou qu’il est dispendieux mais qu’il faut faire attention aux dates que les gens prennent pour avancer leur point de vue.
    A mes débuts, j'étais investi dans des fonds mutuels.
    Certains de leurs rapports se comparaient à une moyenne de toutes les périodes possibles de X années pendant Y années

    Exemple:
    Septembre 2016 à Septembre 2021: Rendement de R1% annuel
    Aout 2016 à Août 2021                  : Rendement de R2% annuel
    Juillet 2016 à Juillet 2021               : Rendement de R3% annuel
    etc...

    Et on fait une moyenne avec R1, R2... RN

    Cela réduit le biais que peut apporter le choix d'une date précise.
    Je trouve ça une bonne idée.

    Ah oui, ça devait donner une meilleure moyenne. 
    Mais en même temps peut être un peu overkill.

    @mistert, M Leblanc est effectivement cohérent d’une fois à l’autre dans le contenu de ses articles vs la philosophie de placement.

    @Patofthepig, yep, si on prend 20 ans, on arrive directement en oct 2001…

  • Ben Evans fait sa présentation annuelle, perspective sur la technologie: https://www.ben-evans.com/presentations
  • CatCat
    décembre 2021 modifié Vote Up0Vote Down
    article de 2019 sur l'évolution des prix aux USA, pendant 20 ans, cela donne à réfléchir : https://howmuch.net/articles/price-changes-in-usa-in-past-20-years
  • Un gros merci pour le lien. Super article
  • J'ai fait de petits calculs sur la performance des principaux indices au cours des vingt dernières années. Voici ce que cela donne (croissance annuelle moyenne):
    NASDAQ : 11,4 % (8,9 % en excluant les deux dernières années)
    S&P 500 : 7,5 %
    DJIA : 6,5 %
    TSX : 5,1 %
  • Cat a dit :
    article de 2019 sur l'évolution des prix aux USA, pendant 20 ans, cela donne à réfléchir : https://howmuch.net/articles/price-changes-in-usa-in-past-20-years
    En effet, ça donne à réfléchir. Les biens de consommation non essentiels qui diminuent de prix alors que c'est l'inverse pour l'essentiel. 

    Petit exemple tiré de ma vie. J'ai acheté un téléviseur il y a 36 ans alors que j'étais enfant au coût de 240$. Une 14 pouces couleur. 30 ans plus tard, j'ai acheté une 42 pouces plasma à 350$.

    La différence est peut-être dans la qualité ma petite 14 pouces m'a durée plus de 25 ans!
  • Cat a dit :
    article de 2019 sur l'évolution des prix aux USA, pendant 20 ans, cela donne à réfléchir : https://howmuch.net/articles/price-changes-in-usa-in-past-20-years
    En effet, ça donne à réfléchir. Les biens de consommation non essentiels qui diminuent de prix alors que c'est l'inverse pour l'essentiel. 

    Petit exemple tiré de ma vie. J'ai acheté un téléviseur il y a 36 ans alors que j'étais enfant au coût de 240$. Une 14 pouces couleur. 30 ans plus tard, j'ai acheté une 42 pouces plasma à 350$.

    La différence est peut-être dans la qualité ma petite 14 pouces m'a durée plus de 25 ans!
    L'enseignement et les services hospitaliers sont deux domaines très intensifs en capital humain pour lesquels la technologie permet difficilement d'augmenter la productivité.

    Il y a probablement eu beaucoup de gains de productivités dans certains sous-secteurs du secteur manufacturier qui font que l'on peut produire à des coûts beaucoup plus bas qu'avant.
  • Cat a dit :
    article de 2019 sur l'évolution des prix aux USA, pendant 20 ans, cela donne à réfléchir : https://howmuch.net/articles/price-changes-in-usa-in-past-20-years
    En effet, ça donne à réfléchir. Les biens de consommation non essentiels qui diminuent de prix alors que c'est l'inverse pour l'essentiel. 

    Petit exemple tiré de ma vie. J'ai acheté un téléviseur il y a 36 ans alors que j'étais enfant au coût de 240$. Une 14 pouces couleur. 30 ans plus tard, j'ai acheté une 42 pouces plasma à 350$.

    La différence est peut-être dans la qualité ma petite 14 pouces m'a durée plus de 25 ans!
    L'enseignement et les services hospitaliers sont deux domaines très intensifs en capital humain pour lesquels la technologie permet difficilement d'augmenter la productivité.

    Il y a probablement eu beaucoup de gains de productivités dans certains sous-secteurs du secteur manufacturier qui font que l'on peut produire à des coûts beaucoup plus bas qu'avant.
    Oui, des économies d'échelle dans le milieu manufacturier, plus difficiles à reproduire pour la santé. 

  • L'enseignement et les services hospitaliers sont deux domaines très intensifs en capital humain pour lesquels la technologie permet difficilement d'augmenter la productivité.

    Il y a eu beaucoup de gain de productivité dans le domaine de la santé. Si on ne soignait que les maladies qu’on soignaient en 1950 le coût serait beaucoup plus bas qu’en 1950. Une grosse partie de l’augmentation des coûts vient de l’élargissement des services. Encore un secteur où on ne peut pas mesurer les bénéfices en $. Par exemple soigner une pneumonie en 1950 demandait une longue hospitalisation alors qu’aujoud’hui on se soigne à la maison avec une dose d’antibiotiques 
  • février 2022 modifié Vote Up0Vote Down
    Davantage de machines distributrices. J'ai vu un autre reportage sur une machine distributrice d'oeufs directement à la ferme. Ils avaient les gros plateaux pour 30 oeufs et la machine est hyper simple, quand tu mets l'argent une des portes débarre et s'entre-ouvre. À St-Simon, sur la route 132 pour aller à Rimouski, il y a une shop de bagels hyper populaire, depuis quelques années ils ont construit un abri dehors et il y  une distributrice.
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1859204/machine-automatisation-developpement-evolution
  • Elon Musk qui mentionne qu’il veut mettre un frein à l’embauche et même couper des postes (possiblement par attrition). 
    Il mentionne tout de meme que ce n’est pas pour ceux qui construisent les voitures

    « Tesla will be reducing salaried headcount by 10% as we have become overstaffed in many areas. Note this does not apply to anyone actually building cars, battery packs or installing solar. Hourly headcount will increase »
    https://www.cnbc.com/2022/06/03/heres-the-email-elon-musk-sent-all-tesla-employees-10percent-job-cuts.html


    estce que ça pourrait être une tendance qui s’en vient ? J’ai de la difficulté à y croire, en écoutant des CC, j’ai l’impression que plusieurs entreprises ont plutôt de la difficulté à combler des postes et que ça affecte même parfois la possibilité de réaliser des ventes.
  • Un site pour suivre les mises à pied dans la techno:  https://layoffs.fyi/
  • J'ai trouvé cet article intéressant: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1972917/taux-disponibilite-immeubles-tours-bureaux-region-quebec-teletravail

    On n'est clairement pas sorti des chamboulements du télé-travail, de la hausse des taux sur le marché immobilier commercial.
  • Article vraiment intéressant JF. 
    Les effets du télétravail sur l’immobilier ne sont pas terminés. Les effets de feront sentir lorsque les baux ne seront pas renouvellés.

    J’ai bien l’impression que nous assisterons à des reconversions d’immeubles à bureau en appartements/condos afin de transférer une grande offre (bureaux) à un secteur où il y a une grande demande, celle du résidentiel. 


    D’ailleurs, je suis tombé sur cet article qui mentionne qu’un bureau de l’île des sœurs était en reconversion.
    Une tendance pour les prochains 5-10 ans.
    https://lp.ca/1Pt4i5?sharing=true


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