J'aurai pensé que les marchés aurait été calme durant les fête mais ça continue !
Joyeuses fêtes quand même à tous
Il y a plusieurs avantages à la baisse de la bourse. Nous pouvons acheter pour moins chers nos compagnies préférées -j'ai recommencé à acheter certains titres- et il y a un peu moins de bruit de "perroquets savants" sur les médias sociaux
Il y a en effet des titres qui commencent à être très intéressant. Nous pourrons avoir des discussions intéressantes en 2019. Bien hâte de voir le portefeuille de chouchous cette année.
Demain le 27 les deux bourses sont ouvertes et c'est la dernière journée où les transactions se règlent en 2018. J'imagine que ça devrait bouger pas mal, si des investisseurs cherchent encore à réaliser leurs pertes. Il y aura sûrement de belles occasions d'achat. Il semble y avoir des banques canadiennes qui sont à des prix intéressants, mais malheureusement je n'ai pas de lectures de faites à ce sujet. Je suis en train de mettre à jour mon évaluation de Costco voir si j'en rachète aux prix actuels. Je rachète du Berkshire à toutes les deux semaines environ ces temps-ci. Et j'aimerais bien Shopify aussi, mais je ne l'ai pas évalué encore et j'achète rarement des entreprises qui ne font pas de profits. Je vais sûrment racheter un peu de Richelieu (au même prix qu'il y a 3 ans!). J'anticipe que le marché de la rénovation (avec quincaillerie spécialisée) sera bon dans les prochaines années considérant : 1) Pouvoir d'achat des Boomers beaucoup plus grand que ceux des autres générations + augmentation de l'espérance de vie + propension des Boomers à rester dans leurs maisons.= rénover pour adapter leurs maisons pour des personnes plus âgées et pour les mettrent à leur goût / convenir à leurs loisirs vu qu'ils ont un grand pouvoir d'achat 2) Les milléniaux qui ont payé ou vont payer des prix exhorbitants pour leurs maisons ou leurs condos en ville, paient un prix au pied carré élevé, ce qui incite à acheter plus petit. La quincaillerie spécialisée servant à faire des meubles multifonction ou adaptés aux petits espaces, bien que chère, devient alors un choix judicieux si le prix de l'immeuble au pi carré est très élevé.
J'allais intervenir, le marché américain est ouvert est en hausse. J'ai des titres à +8 à +12% ?? Je vous invite à regarder la courbe de 5 ans des titres de qualité, vous allez voir, le prix actuel est pas mal où il devrait être s'il n'y avait pas eu le "soufflage" observé depuis 2017. Moi aussi je n'en reviens pas du largage des titres reliés à l'habitation. Pour les technos, disons que c'était mérité.
Je vais devoir écouter Jim Cramer pour me démêler... Il a tellement de bons conseils et il est tellement calme devant les marchés... :-)
Plus sérieusement, j'écoutais un podcast du Motley Fool et l'animateur disait que même Daniel Kahneman, l'un des pères de la finance behaviorale, avait paniqué en 2009 et vendu toutes ses actions...
Les marchés sont a leur sommets et stagnent. Rien en vu pour les motiver. (En periode estival, j'anticipe peu des prochaines publications de résultats et la baisse des taux US probable)
J'ai repositionné une partie de mon portefeuille en revenu fixe : REIT immobilier et pipeline, actions privilégiés. S'il y a repli les revenus commenceront, s'il y a panique j'aurai de l'argent disponible pour en profiter.
Il semblerait qu'on soit face à un marché à 2 vitesses, certains titres semblent monter encore et encore et d'autres titres, semblent subir punissions sur punissions. C'est ce que j'observe depuis quelques mois déjà.
Certes, certains titres méritent une évaluation plus généreuse que d'autres, mais je pense que le marché creuse son écart de plus en plus. Est-ce que le phénomène est dû aux FNB ? Les gestionnaires de portefeuille achètent-ils les titres gagnants pour "paraître mieux" à la fin de l'année ?
“We think that the unprecedented divergence between various market segments offers a once in a decade opportunity to position for convergence,”
“Currently, there is a record divergence between value/cyclical stocks on one side, and low volatility/defensive stocks on the other side,” Kolanovic wrote. “The level of divergence is much more significant even when compared to the dot-com bubble valuations of late ’90s.”
Quand on regarde le graphique ci-dessus, on voit que l'histoire du s&p 500, c'est pas mal d'aller d'un sommet à l'autre... C'est normal d'être plus souvent près du sommet historique, ça prend une grosse débâcle (i.e 2001, 2008) pour nous en éloigner. Et même là, 4-5 ans après la débâcle , on est de retour près du dernier sommet...
Et même lors de la soi-disant décennie perdue des années 2000, il y avait des achats intéressants à faire... Amazon, Google, Apple, Couche-Tard....
Mon conseil serait de ne pas trop stresser avec les sommets du marché et de focaliser plutôt sur la sélection de grands gagnants à long terme.
Quelqu'un qui aurait investi en 1905 en serait au même point, avec un ETF du SP 500, en 1945. Un exemple extrême qui illustre quand même que, d'un sommet à l'autre, le temps peut être long. Le NASDAQ a eu besoin d'environ 15 ans pour retrouver son sommet de l'an 2000. Un Japonais qui aurait investi dans son indice local, le NIKKEI, est en perte depuis son haut atteint en 1990 : 30 ans de surplace. Il faut être conscient, en investissant à la bourse, que le temps peut être long, très long. Bien sûr, il y aura toujours des titres gagnants durant ces périodes. Le problème c'est qu'on les connaît ... après. Pour ne pas stresser la nuit, il faut donc se développer des stratégies qui tiennent compte de ce risque de volatilité à moyen et long terme. Voire très long terme. Investir de l'argent qu'on n'a pas besoin à court ou moyen terme, ne jamais investir sur marge, pondérer son portefeuille en fonction de son profil personnel. Personnellement, étant investi à 100% et compte tenu de mon âge, je prévois des stratégies de sortie en cas de baisse de marché. Cela me fait perdre du rendement, pour la plupart des baisses, mais cette stratégie me permet en même temps de rester investi à 100%. Par contre, je ne joue pas au yoyo avec la bourse au quotidien. Mais en décembre dernier, j'avais commencé à me retirer progressivement, avant de revenir. J'y ai perdu un peu de rendement. C'est le prix à payer. Chacun sa stratégie.
Je trouve le commentaire intéressant Bernard. Cela dit, ces surplaces ne sont-ils pas attribuables à des bulles plutôt extrêmes, et non à des évaluations de marché dans son ensemble chères mais pas indécentes?
Tu as raison pour la plupart du temps. Mais, en 2008, lors de la crise financière, les marchés n'étaient pas en bulle avant que l'économie mondiale ne passe proche de s'écrouler.
Oui mais justement post-2008, on ne parle pas d'un marché qui a pris 15 ans à revenir où il en était. Pour un investisseur à long terme, la crise de 2008 n'est pas si pire. Ce n'était pas une bulle uniquement boursière.
Je tente juste de distinguer des moments où il serait plutôt opportun de sortir du marché (ou de certains titres) sur une perspective à long terme, versus de rester pleinement investi avec un horizon à très long terme. Il me semble qu'il y a quelques cas bien différentes. Est-ce simple de les comprendre quand on les vit cela dit?
Quelqu'un qui aurait investi en 1905 en serait au même point, avec un ETF du SP 500, en 1945. Un exemple extrême qui illustre quand même que, d'un sommet à l'autre, le temps peut être long.
Selon le site cité plus haut:
Jan 1, 1905
8.43
Jan 1, 1945
13.49
Le marché était 60% plus élevé. Et on parle d'il y a très longtemps. Les chances de revoir un dépression comme celle des années 30 est mince. L'économie est plus diversifié, le niveau d'éducation beaucoup plus élevé, la politique monétaire est plus sophistiqué, etc.
Si on a rebondit assez vite de 2008, c'est beaucoup parce que des types comme Ben Bernanke avaient tiré des leçons de la crise des années 30.
Le NASDAQ a eu besoin d'environ 15 ans pour retrouver son sommet de l'an 2000. Un Japonais qui aurait investi dans son indice local, le NIKKEI, est en perte depuis son haut atteint en 1990 : 30 ans de surplace. Il faut être conscient, en investissant à la bourse, que le temps peut être long, très long.
Et ceux qui ont investi dans Nortel n'ont toujours pas récupéré leur argent...
Je parlais du marché en général, je ne crois pas que l'on peut utiliser le NASDAQ ou le NIKKEI ou le TSX comme un barème. Le S&P 500, bien qu'imparfait, demeure le meilleur barème pour un nord-américain.
@bernard, jaurais deux points à mentionner par rapport au « surplace » du passé. 1) même si l’indice n’augmente pas beaucoup il ne fait pas oublier les dividendes. Durant la première moitié du 20e siecle, les entreprises versaient davantage en dividende, autour de 5%. A ne pas négliger. https://www.multpl.com/s-p-500-dividend-yield
2) par rapport à est-ce que l’investisseur a fait de l’argent en investissant en 2000, 2008, à mon sens c’est hypothétique à part si tu reçois une très grosses sommes en héritage ou autre à un moment precis juste avant que le marché baisse dramatiquement, car dans la majorité des cas, les gens investissent un montant similaire à toutes les années, donc oui ton 5k n’aura pas été aussi profitable en 2008 que celui investi en 2009 et 2010 et ainsi de suite.
Vous avez des bons points. Par contre, les bourses en 2009 ont rebondi rapidement parce que l'effondrement du système économique mondial a été évité de justesse. C'est pourquoi les bourses sont ensuite rapidement revenues à une évaluation plus normale. Si l'effondrement avait eu lieu, on ne serait probablement pas encore très fort aujourd'hui.
Lorsqu'on
fait des comparaisons sur la bourse longtemps dans le passé, je crois qu'on peut
démontrer une autre différence très importante, soit le fait que plus on va loin
dans le passé, moins les actifs intangibles (qu'ils soient constatés ou non au bilan
des entreprises) semblent être importants. De façon isolée, ce phénomène
a handicapé à la baisse les rendements du passé relativement à ceux des années plus récentes.
Sur mon fond de pension, je n'ai pas beaucoup de choix, soit je suis dans un fond auto géré et je vais avoir 7-9% annuel, ou je choisi moi même mes fonds. J'ai donc décidé l'an passé de changer mes positions et "d'essayer" de timer le market. Je suis sur un fond qui track le s&p500, un qui suis le tsx, l'autre obligation global canadienne(6% de rendement sur l'indice obligation year to date), international, small/mid cap, growth ou value large cap. Je suis présentement 50% obligation 20%s&P 500. quand le S&p 500 monte au dessus de 2900, 3000 je reduit ma position pour reduire le risque. quand il passe sous les 2500 comme en dec, ou 2750 au printemps, j'ajoute à ma position. biensur je peux pas tout prendre les gains, mais présentement je suis à plus de 15% de rendement et je le fait surtout pour réduire le risque sur mon portfolio. Note que partout en dehors de mon fond de pension je suis 100% actions en value investing et beaucoup us, une grosse portions chez Giverny. Je sens donc le besoin de réduire le risque et mon exposition sur l'indice us. je perd en gain mais je réduit beaucoup mes rendement négatif et surtout le risque.
Sur mon fond de pension, je n'ai pas beaucoup de choix, soit je suis dans un fond auto géré et je vais avoir 7-9% annuel, ou je choisi moi même mes fonds. J'ai donc décidé l'an passé de changer mes positions et "d'essayer" de timer le market. Je suis sur un fond qui track le s&p500, un qui suis le tsx, l'autre obligation global canadienne(6% de rendement sur l'indice obligation year to date), international, small/mid cap, growth ou value large cap. Je suis présentement 50% obligation 20%s&P 500. quand le S&p 500 monte au dessus de 2900, 3000 je reduit ma position pour reduire le risque. quand il passe sous les 2500 comme en dec, ou 2750 au printemps, j'ajoute à ma position. biensur je peux pas tout prendre les gains, mais présentement je suis à plus de 15% de rendement et je le fait surtout pour réduire le risque sur mon portfolio. Note que partout en dehors de mon fond de pension je suis 100% actions en value investing et beaucoup us, une grosse portions chez Giverny. Je sens donc le besoin de réduire le risque et mon exposition sur l'indice us. je perd en gain mais je réduit beaucoup mes rendement négatif et surtout le risque.
Pourquoi penses-tu que timer le S&P500 réduit le risque? À mon avis c'est le fait d'être en partie en obligations qui réduit un peu la volatilité et le rendement, pas le fait de timer le S&P500. Puis la volatilité à très long terme, comme pour un fond de pension, ce n'est pas tellement grave, à moins que ça te stresse beaucoup.
Ne vaudrait-il pas mieux laisser Giverny faire son travail sans trop s'en soucier et faire de l'investissement passif (passif pour de vrai) en ETF pour ton fond de pension ? Ça prendrait moins de temps. 7-9% annuel comme rendement après les frais, je trouve ça correct, c'est dans la moyenne.
Réponses
Joyeuse fêtes !
Joyeuses fêtes
Les marchés remontent !
Plus sérieusement, j'écoutais un podcast du Motley Fool et l'animateur disait que même Daniel Kahneman, l'un des pères de la finance behaviorale, avait paniqué en 2009 et vendu toutes ses actions...
https://www.fool.com/podcasts/motley-fool-money/2018-12-28-2018-year-in-review/
C'est au début de l'entrevue avec Howard Marks vers 20:00
En voici une explication claire:
https://www.youtube.com/watch?v=bgJIQVXg4Tc
2012 : https://www.huffpost.com/entry/global-economic-crisis-2012_b_1179740
2013 : https://en.wikipedia.org/wiki/United_States_debt-ceiling_crisis_of_2013
2014: https://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11301059/How-the-world-fell-back-into-economic-meltdown-2014-in-charts.html
2015: https://www.businessinsider.com/the-financial-crisis-of-2015-2011-1
2016: https://www.theguardian.com/business/2016/jan/12/beware-great-2016-financial-crisis-warns-city-pessimist
2017: https://www.express.co.uk/finance/city/838947/Financial-crisis-US-economy-news-2017-similarities-debt-2007
2018 : https://news.goldcore.com/us/gold-blog/financial-crisis-coming-end-2018-prepare-urgently/
Et le plus effrayant d'entre tous....
2019: https://www.nytimes.com/2018/12/10/style/2019-financial-crisis.html
J'ai repositionné une partie de mon portefeuille en revenu fixe : REIT immobilier et pipeline, actions privilégiés. S'il y a repli les revenus commenceront, s'il y a panique j'aurai de l'argent disponible pour en profiter.
https://finance.yahoo.com/news/jp-morgan-analyst-reveals-this-once-in-a-decade-opportunity-in-stocks-right-now-140624638.html
Il semblerait qu'on soit face à un marché à 2 vitesses, certains titres semblent monter encore et encore et d'autres titres, semblent subir punissions sur punissions. C'est ce que j'observe depuis quelques mois déjà.
Certes, certains titres méritent une évaluation plus généreuse que d'autres, mais je pense que le marché creuse son écart de plus en plus. Est-ce que le phénomène est dû aux FNB ? Les gestionnaires de portefeuille achètent-ils les titres gagnants pour "paraître mieux" à la fin de l'année ?
“We think that the unprecedented divergence between various market segments offers a once in a decade opportunity to position for convergence,”
“Currently, there is a record divergence between value/cyclical stocks on one side, and low volatility/defensive stocks on the other side,” Kolanovic wrote. “The level of divergence is much more significant even when compared to the dot-com bubble valuations of late ’90s.”
https://www.multpl.com/s-p-500-historical-prices
Et même lors de la soi-disant décennie perdue des années 2000, il y avait des achats intéressants à faire... Amazon, Google, Apple, Couche-Tard....
Mon conseil serait de ne pas trop stresser avec les sommets du marché et de focaliser plutôt sur la sélection de grands gagnants à long terme.
Bien sûr, il y aura toujours des titres gagnants durant ces périodes. Le problème c'est qu'on les connaît ... après.
Pour ne pas stresser la nuit, il faut donc se développer des stratégies qui tiennent compte de ce risque de volatilité à moyen et long terme. Voire très long terme.
Investir de l'argent qu'on n'a pas besoin à court ou moyen terme, ne jamais investir sur marge, pondérer son portefeuille en fonction de son profil personnel.
Personnellement, étant investi à 100% et compte tenu de mon âge, je prévois des stratégies de sortie en cas de baisse de marché. Cela me fait perdre du rendement, pour la plupart des baisses, mais cette stratégie me permet en même temps de rester investi à 100%.
Par contre, je ne joue pas au yoyo avec la bourse au quotidien. Mais en décembre dernier, j'avais commencé à me retirer progressivement, avant de revenir. J'y ai perdu un peu de rendement. C'est le prix à payer. Chacun sa stratégie.
Je tente juste de distinguer des moments où il serait plutôt opportun de sortir du marché (ou de certains titres) sur une perspective à long terme, versus de rester pleinement investi avec un horizon à très long terme. Il me semble qu'il y a quelques cas bien différentes. Est-ce simple de les comprendre quand on les vit cela dit?
Selon le site cité plus haut:
Le marché était 60% plus élevé. Et on parle d'il y a très longtemps. Les chances de revoir un dépression comme celle des années 30 est mince. L'économie est plus diversifié, le niveau d'éducation beaucoup plus élevé, la politique monétaire est plus sophistiqué, etc.
Si on a rebondit assez vite de 2008, c'est beaucoup parce que des types comme Ben Bernanke avaient tiré des leçons de la crise des années 30.
Et ceux qui ont investi dans Nortel n'ont toujours pas récupéré leur argent...
Je parlais du marché en général, je ne crois pas que l'on peut utiliser le NASDAQ ou le NIKKEI ou le TSX comme un barème. Le S&P 500, bien qu'imparfait, demeure le meilleur barème pour un nord-américain.
jaurais deux points à mentionner par rapport au « surplace » du passé.
1) même si l’indice n’augmente pas beaucoup il ne fait pas oublier les dividendes. Durant la première moitié du 20e siecle, les entreprises versaient davantage en dividende, autour de 5%. A ne pas négliger. https://www.multpl.com/s-p-500-dividend-yield
2) par rapport à est-ce que l’investisseur a fait de l’argent en investissant en 2000, 2008, à mon sens c’est hypothétique à part si tu reçois une très grosses sommes en héritage ou autre à un moment precis juste avant que le marché baisse dramatiquement, car dans la majorité des cas, les gens investissent un montant similaire à toutes les années, donc oui ton 5k n’aura pas été aussi profitable en 2008 que celui investi en 2009 et 2010 et ainsi de suite.
Lorsqu'on fait des comparaisons sur la bourse longtemps dans le passé, je crois qu'on peut démontrer une autre différence très importante, soit le fait que plus on va loin dans le passé, moins les actifs intangibles (qu'ils soient constatés ou non au bilan des entreprises) semblent être importants. De façon isolée, ce phénomène a handicapé à la baisse les rendements du passé relativement à ceux des années plus récentes.
Ne vaudrait-il pas mieux laisser Giverny faire son travail sans trop s'en soucier et faire de l'investissement passif (passif pour de vrai) en ETF pour ton fond de pension ? Ça prendrait moins de temps. 7-9% annuel comme rendement après les frais, je trouve ça correct, c'est dans la moyenne.