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Auto Canada (ACQ)

13

Réponses

  • Pour le rachats d'actions, ils pourraient racheter 2% de leurs actions d'ici quelques semaines et annoncer une bonification. Ça se voit souvent et ils n'ont pas intérêts à l'annoncer tout de suite sans quoi le titre va augmenter avant d'avoir racheté leur premier 2%. 

    De ce que j'ai entendu, le prix offert pour une concession automobile est très élevé, voir limite. Ils offrent beaucoup plus que la valeur sur le marché. Donc, une fois que tout les dealers qui sont suceptibles d'intéresser ACQ auront refusé une offre, la croissance se fera plus difficilement. L'année 2014 a été extraordinaire en acquisitions mais ce rythme n'est pas soutenable. Les opportunités de dealers qui veulent vendre se font plus rare. Les rachats d'actions pourraient augmenter au cours des prochaines années.

    Le outlook n'était pas nécessaire mais est apprécié des investisseurs fondamentaux. Pourquoi ne pas en avoir publié un le 6 novembre lors des Q3 alors que le prix du pétrole avait déjà débuté sa chute et que le titre avait déjà perdu la moitié de sa valeur depuis son sommet? Le outlook aurait alors rassurer les investisseurs puisque les ventes du dernier trimestre ont tenus le coup. Pourquoi ne pas en avoir publié un le 20 mars 2014 lors du Q4 alors que le outlook aurait encore une fois rassurer les investisseurs?  
  • J'ai retourné voir mes logs d'achat aujourd'hui puisque vos commentaires me "chicotaient"... j'ai vu que RBC a annulé l'achat à 42. Il semble qu'il y ait eut une erreur système!  Alors mon cout de revient est maintenant beaucoup plus près du prix actuel! :)
  • Buffett donne son opinion sur le modèle de distribution de Telsa.

  • À la page 7 du document de l'information intéressante sur la provenance des revenus des concessionnaires d'automobiles américains. J'imagine que c'est semblable au Canada.



  • Un consultant de l'industrie automobile donne son opinion sur l'avenir des concessionnaires automobiles. http://www.cnbc.com/id/102574673
  • Quand quelqu'un débute un article en disant que Buffett se trompe ça part mal avec moi. Les problématiques décrites sont réelles mais les solutions peuvent venir sans faire disparaître les concessionnaires. Toyota a déjà améliorer beaucoup de choses dont il parle dans l'article. De plus, l'émergence de gros groupe de concessionnaires comme Auto Canada va favoriser l'amélioration des façons de faire en permettant d'étendre rapidement les meilleures pratiques développées par les concessionnaires à l'ensemble du réseau.

    Une des question qui me chicotte c'est la propriété de concession de fabricant différent. Comment Autocanada va gérer le client qui hésite entre deux modèles de fabriquant différent dont ils sont les concessionnaires? Idéalement il devrait tenter de lui vendre le modèle avec la plus forte marge. Toutefois il est certains qu'un des deux vendeurs à commission ne sera pas d'accord pour collaborer.
  • AutoCanada opère un modèle quand même très décentralisé pour un dealer group.
    Les concessions ont un certain lien entre elles mais se font tout de même compétition dans un marché donné.

    Je ne vois pas la potentielle cannibalisation comme un problème à long terme. Ce phénomène est d'ailleurs beaucoup plus présent dans le used, moins de 10000$. La plupart des gens savent déjà quel modèle ils recherchent où ont une shortlist des véhicules qu'ils veulent, et c'est les manufacturiers qui se sont fait compétition pour l'image au préalable. 
    AutoCanada va gagner sur l'implantation d'un modèle d'affaires et d'une mentalité profitable, sur la réduction de coûts et la gestion de fournisseurs et sur la création d'expertise à l'interne.
  • Le titre a pris 20% aujourd'hui!
  • Oui. On dirait que les résultats d'aujourd'hui ont convaincu plusieurs que la compagnies ne ferait pas de pertes malgré la baisse de l'économie en Alberta.
  • Excellent! Bien content pour vous les gars.
  • Pourtant les résultats ne sont pas hallucinants. Une chance que j'ai une optique long terme, car je ne comprend pas les marchés. Selon moi, il fallait vraiment voir la vie en noir et ne rien comprendre à la business pour penser que ACQ aurait pu afficher une perte au Q2. Je me serais attendus à un EPS légèrement supérieur à ce qui a été annoncé mais le titre prend 20%, 
  • Un deuxième titre de consolidation de l'industrie automobile est maintenant disponible:
    Dilawri Auto Group sous un REIT. Ils spin-off la moitié de leurs concessions dans ce REIT et font une IPO de 75M dont ils possèdent encore une part majoritaire (APR.UN).

    Dilawri opère le même modèle qu'AutoCanada mais sont à priori un peu plus gros (le plus gros au Canada)
    Ils ouvrent maintenant leurs livres, j'ai bien hâte d'y jeter un coup d'oeil
  • Un deuxième titre de consolidation de l'industrie automobile est maintenant disponible:
    Dilawri Auto Group sous un REIT. Ils spin-off la moitié de leurs concessions dans ce REIT et font une IPO de 75M dont ils possèdent encore une part majoritaire (APR.UN).

    Dilawri opère le même modèle qu'AutoCanada mais sont à priori un peu plus gros (le plus gros au Canada)
    Ils ouvrent maintenant leurs livres, j'ai bien hâte d'y jeter un coup d'oeil

    Salut Louis, 

    Dilawri est un consolidateur comme Autocanada, mais ils ne s'y prennent pas du tout de la même façon qu'Autocanada avec cette entrée en bourse.

    Ils ne font pas un spin-off de 26 commerces mais de 26 immeubles qui abritent leurs commerces.

    Personnellement, je trouve leur façon de faire brillante. Ils conservent le contrôle (57%) du nouveau REIT, et vendent 43% de 26 immeubles pour 75M$. Le REIT sera la pour servir la cause des Dilawri dans leur processus d'acquisition. 

    Donc, dans un scénario d'acquisition d'un concessionnaire qui prends sa retraite, le groupe Dilawri achètera le commerce, et le REIT achètera l'immeuble. Le vendeur de la concession, ce qui l’intéresse, c'est le prix total qu'il obtient. Dans le contexte de bas taux d'intérêt actuel, le REIT pourra payer un prix élevé pour l'immeuble ce qui permettra aux Dilawri de payer un prix très intéressant pour le commerce. Au final, le vendeur a obtenu un prix total interessant et les Dilawri aussi. 

    Je crois que c'est une façon de faire qui est brillante pour les Dilawri ! Peut être moins pour les acheteur du REIT. 
  • Cette structure me semble avantageuse pour les Dilawri mais pas pour les actionnaires du REIT. Ils paieront un loyer au REIT qu'ils détermineront eux-même. Et, ce que j'espère, il sera à un juste prix du marché. Même chose pour le prix d'achat des immeubles versus les commerce. Le vendeur lui s'en fiche quelle compagnie paie quoi. Mais les Delawri ont avantage à surpayer les immeubles et sous payer les commerces. 

    Si les Delawri sont des gens intègres tout se fera à la juste valeur marchande. mais même là, les loyer augmenteront au taux d'inflation, qui devrait être moindre que celui espéré pour le taux de croissances des commerces. Je vais regarder la documentation mais il serait surprenant que ça me semble plus profitable à long terme que la structure de ACQ. 
  • Un spin-off de l'immobilier dans un REIT, Canadian Tire, Loblaws...etc.

    Ils vont développer les immeubles et les revendre au REIT (car le REIT ne peut pas faire des activités de développement). 

    Ils vont avoir une société de gestion qui va charger des "operating fees" ET des "management fees" au REIT pour l'opération et la gestion des immeubles..

    Bref, j'abonde dans le même sens que les intervenants ci-haut, principalement avantageux pourles Dilawri.
  • @MarioP


    Dans plusieurs REIT, chaque transaction doit être approuvée par les membres indépendants du conseil des fiduciaires (donc les membres qui ne font pas parti de la famille Delawri), j'imagine que ce REIT va avoir cette clause dans sa convention de fiducie. Les Dilawri ne peuvent pas faire ce qu'ils veulent. Mais à quel point les membres indépendants seront-ils vraiment indépendants? Ça reste dur à savoir.


    J'ai vaguement lu la documentation, car ça ne m'intéresse pas, mais je crois avoir compris que dans le futur le REIT ne va pas nécessairement acheter seulement les immeubles de concessionnaires que les Dilawri vont acheter.



  • Un deuxième titre de consolidation de l'industrie automobile est maintenant disponible:
    Dilawri Auto Group sous un REIT. Ils spin-off la moitié de leurs concessions dans ce REIT et font une IPO de 75M dont ils possèdent encore une part majoritaire (APR.UN).

    Dilawri opère le même modèle qu'AutoCanada mais sont à priori un peu plus gros (le plus gros au Canada)
    Ils ouvrent maintenant leurs livres, j'ai bien hâte d'y jeter un coup d'oeil

    Salut Louis, 

    Dilawri est un consolidateur comme Autocanada, mais ils ne s'y prennent pas du tout de la même façon qu'Autocanada avec cette entrée en bourse.

    Ils ne font pas un spin-off de 26 commerces mais de 26 immeubles qui abritent leurs commerces.

    Personnellement, je trouve leur façon de faire brillante. Ils conservent le contrôle (57%) du nouveau REIT, et vendent 43% de 26 immeubles pour 75M$. Le REIT sera la pour servir la cause des Dilawri dans leur processus d'acquisition. 

    Donc, dans un scénario d'acquisition d'un concessionnaire qui prends sa retraite, le groupe Dilawri achètera le commerce, et le REIT achètera l'immeuble. Le vendeur de la concession, ce qui l’intéresse, c'est le prix total qu'il obtient. Dans le contexte de bas taux d'intérêt actuel, le REIT pourra payer un prix élevé pour l'immeuble ce qui permettra aux Dilawri de payer un prix très intéressant pour le commerce. Au final, le vendeur a obtenu un prix total interessant et les Dilawri aussi. 

    Je crois que c'est une façon de faire qui est brillante pour les Dilawri ! Peut être moins pour les acheteur du REIT. 
    Merci de la précision. Ça explique un peu plus la faible évaluation pour autant de dealers.
    :)
  • Je viens de jeter un coups d'oeil au prospectus. Un bail de 15 ans avec 1,5% d'augmentation de loyer par année je pense que c'est un bon deal pour le locataire. Pour le REIT ça ce traduit par 2,4% d'augmentation des distribution par année. Le REIT est un titre à acheter surtout pour le rendement de 8%. On peut prévoir un rendement à long terme de 10% avec peu de risque, ce qui est quand même bon dans le contexte actuel. On peut acheter pour un an ou deux comme j'ai fait pour Granite REIT avec un forte probabilité que le titre monte pour ramener le rendement des distributions vers 5-6%.
  • Je comprends que les nouveaux concessionnaires s'installent normalement en périphérie des centres économiques près des sorties d'autoroutes des nouveaux quartiers d'habitation unifamiliale en développement. (à confirmer)

    Quelle est la durée de vie utile des "Showrooms" ? 
    Est-ce que ces terrains prennent de la valeur ?
    Quel est le prix de revente d'un "Showroom" vétuste à une grande surface du style Walmart/Costco ?

    Est-ce que le modèle d'affaires des Showrooms style 1985 va être bouleversé par le e-commerce comme le reste du secteur du commerce au détail ?
  • @Stor

    Comme je l'ai dit plus haut, je n'ai pas analysé ce REIT en profondeur. J'ai une opinion qualitative seulement. Je ne crois pas que le modèle économique des concessionnaires automobiles soit menacé à court terme. Par contre à long terme j'ai certains doutes et c'est pour ça que je ne veux pas investir dans ce REIT.


    Sur mon blogue, je vais publier prochainement une longue analyse sur l'immobilier. J'ai trouvé un REIT qui m'apparaît intéressant, soit BTB. J'arrive un peu à la même conclusion que toi. Dans le contexte du marché, BTB m'apparaît intéressant, car j'ai de très bonnes chances de réaliser un rendement de 10%. Mais, les REIT n'ont pas les caractéristiques nécessaires pour pouvoir générer de meilleurs rendements, surtout dans un contexte de bas taux d'intérêts. Un genre de placement par défaut qu'on peut faire en attendant de trouver autre chose.


  • Je comprends que les nouveaux concessionnaires s'installent normalement en périphérie des centres économiques près des sorties d'autoroutes des nouveaux quartiers d'habitation unifamiliale en développement. (à confirmer)
    D'une certaine façon oui, près des autoroutes surtout. Sinon le meilleur spot pour un franchisé de s'installer est dans un marché mal servi par les autres franchisés de la même marque. Par exemple à Montréal, le nouveau Ford dans l'ouest de l'île et le nouveau Mercedes dans l'est de l'île viennent remplir cette fonction.
    Quelle est la durée de vie utile des "Showrooms" ?
    10-15 ans. Dépendant de la volonté et de la capacité de négocier du propriétaire.
    Est-ce que ces terrains prennent de la valeur ?
    Situationnel. Mais de façon générale oui comme le reste de l'immobilier.
    Quel est le prix de revente d'un "Showroom" vétuste à une grande surface du style Walmart/Costco ?
    Ça ne se fait pas de cette façon là. Souvent une concession revendue peut devenir une concession d'Occasion ou de Crédit, voir un centre de service, de réparation ou autre. Rarement vu des anciens terrains de concessionnaires changer complètement de vocation. J'imagine que ce n'est pas impossible et que c'est plus probable en milieu urbain / haute densité de population. Au niveau du prix de revente d'une concession en fin de vie, surement qu'Eddy a des connaissances en la matière.
  • Le prix est rendu à 25$ pour ceux qui pensent prendre une position.
  • http://www.stockhouse.com/news/press-releases/2015/08/24/autocanada-inc-announces-the-acquisition-of-don-folk-chevrolet

    Une autre acquisition pour Autocanada !

    Aussi, la valeur que le marché attribue à la compagnie est passée de 537M$ à 708M$ cette semaine (après 1.7G$ cette année). Très efficient :)
  • Trois derniers mois avec des ventes records de véhicules neufs au Canada. Ça augure bien pour les résultats qui seront publiés le 5 novembre.


     
  • Et ce n'est pas fini. Je ne me souviens pas où j'ai lu cette information cette semaine, mais la direction prévoit acquérir entre 6 et 8 autres concessionnaires d'ici les 6 prochains mois. Le problème c'est que les acquisitions dépassent très largement les FCF de l'entreprise. J'espère qu'elle ne sera pas forcée d'émettre des actions. La capacité d'emprunt supplémentaire semble assez importante pour l'instant, mais ça signifierait qu'il n'y aura plus de jus pour les acquisitions de l'an prochain.
  • Je me rappel où j'ai lu l'information que la direction prévoyait ouvrir entre 6 et 8 autres concessions d'ici mars 2016. C'était dans une présentation qui a été faite en septembre 2016. Depuis ce temps, 3 nouvelles concessions ont été ajoutées. Il en reste donc entre 3 et 5 à venir selon le plan.

    Management provided acquisition guidance in a news release issued on August 6, 2015 and isconfident that, in addition to the acquisitions completed to that date, it shall add 6 to 8 additional dealerships by May 31, 2016


    La thèse d'investissement de l'institutionnel la plus importante qui est investie dans le titre (Invesco Canada).

    La société n’est peut-être pas flamboyante, mais elle constitue quand
    même le concessionnaire le plus important au Canada. Elle vend des
    véhicules neufs et usagés, fournit des services d’entretien ainsi que de
    réparation et offre du financement et de l’assurance.

    Au cours des cinq dernières années, l’entreprise a doublé ses revenus. Grâce à près de

    50 concessionnaires et près de 20 marques différentes, la société a pour
    objectif de doubler encore une fois ses revenus au cours des cinq à
    sept prochaines années*.

    Son action a fluctué grandement pendant les deux dernières années,
    atteignant un sommet tout juste au-dessus de 90 $ en juin 2014 avant de
    chuter sous la barre des 40 $ au début de l’année. Les investisseurs
    étaient inquiets de la forte présence de la compagnie dans l’Ouest
    canadien et de la chute des prix de l’énergie.

    Lorsque l’action a fléchi, nous avons ravivé nos recherches sur la
    société et une nouvelle thèse positive a commencé à émerger. Voici
    quelques éléments de celle-ci :

    Barrières à l’entrée

    Dans ce secteur, le fabricant de l’équipement d’origine (original
    equipment manufactuers ou « OEM ») doit approuver tout nouvel arrivant.
    Par exemple, si vous voulez vendre des autos de marque Chrysler,
    Chrysler doit vous approuver à titre de vendeur. Pour pouvoir ensuite
    détenir plus qu’un concessionnaire, il est essentiel de démontrer de
    solides antécédents de succès. En effet, il ne suffit pas d’avoir accès à
    du capital de départ pour pouvoir acheter des concessionnaires.

    Échelle

    Il peut être difficile pour les petits opérateurs de faire croître
    leur entreprise. Toutefois, AutoCanada, en tant que seul détaillant coté
    en Bourse au Canada, a accès à du capital pour financer des
    acquisitions. Cela permet à la société de tirer profit de la
    fragmentation de l’industrie. En effet, il existe bon nombre de
    détaillants plus âgés qui détiennent un ou deux concessionnaires, ce qui
    donne l’occasion à AutoCanada d’acheter des concessionnaires plus
    petits partout au Canada appartenant à des propriétaires qui prennent
    leur retraite.

    Revenus récurrents

    Un élément clé de notre thèse sur la société est le revenu récurrent
    provenant de l’entretien et de la réparation. Pour chaque automobile
    vendue, la société continue de recevoir un revenu pour une période
    d’environ de trois à cinq ans – soit la durée de vie de la garantie du
    véhicule. L’entretien des véhicules constitue un secteur à marge brute
    élevée.

    Équipe de direction

    Le fondateur de la société détient 10 % de l’entreprise, possède 40
    ans d’expérience dans le secteur et nos recherches indiquent que sa
    relation avec les OEM et les concessionnaires individuels est très
    solide. Ces relations constituent une partie importante du succès en
    matière d’expansion de la compagnie, puisque les OEM ont tendance à
    établir des partenariats avec des sociétés expérimentées et AutoCanada
    vient immédiatement à l’esprit des petits concessionnaires qui désirent
    vendre leur entreprise.

    En définitive, ces quatre éléments ont permis à la société de générer
    des flux de trésorerie importants et d’avoir obtenu un rendement sur le
    capital investi moyen de 17 % au cours des cinq dernières années.
    Nous avons notre propre opinion sur AutoCanada et cela nous a permis
    d’acheter son action avec un haut niveau de confiance au cours d’une
    période de crainte sur le marché. Nos recherches approfondies font en
    sorte que nous croyons au potentiel de croissance à long terme de
    l’entreprise.

  • Une émission de nouvelles actions pour 75 millions $ à 25,50$ a été annoncée aujourd'hui après la fermeture des marchés.


    Avec une émission à ce prix-là ça me laisse dire que la thèse de placement basé sur un éventuel retour au multiple qui prévalait dans le passé; soit de 20 à 25 fois les profits, reste improbable à moyen terme. 


  • Je déteste quand une de mes compagnies vends des actions à un prix où j'estime être acheteur. Ça veut dire que je me suis trompé! En plus si la compagnie verse un dividende c'est vraiment le top. Une partie de mes actions est dans un compte imposable. On me paie un dividende alors que la compagnie a besoin d'argent pour sa croissance. Une partie de mon dividende retourne au gouvernement et une partie du montant obtenu de la vente va aux courtiers qui gèrent l'émission. Nous avons donc ici deux dépenses que l'on pourraient éviter en coupant le dividende. Pour moi c'est le signe que la compagnie ne sert pas bien les actionnaires donc ma sortie de la compagnie est proche.

    Dans un autre discussion quelqu'un demandait nous préférerions les compagnie qui croissent très vites ou celles qui se développe à un bon rythme mais pas trop vite. Une partie de ma réponse est que je préfère les compagnie qui peuvent croître à un bon rythme sans émettre d'actions. J'aime mieux une compagnie qui prend 10 ans pour atteindre son plein potentielle sans émettre d'action que une qui le fera en sept ans avec une dilution de l'actionnariat de 40%. La valeur de l'action dépend du BPA et si on augmente le A on diminue la valeur de ma participation.

    Je comprends que dans certaines circonstances les compagnie ne peuvent pas prendre le temps qu'elles veulent pour développer leur marché. Dans le cas de ACQ, si elle n'achète pas les concessionnaires à vendre aujourd'hui quelqu'un d'autre le fera et l'opportunité sera perdu. Il y a un nombre de concessions disponible pour les consolidateurs qui n'est pas infini. Cette situation risque aussi de créer une sur-enchère pour l'achat des concessions, ce qui est aussi nuisible pour moi.




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