After meeting with management, Deutsche Bank believes AIG is likely to repurchase more of its own shares and at a faster pace than the market currently expects. The firm thinks $15B-$20B worth of buybacks is achievable over the next two 12 months and maintains a Buy rating on the AIG shares with an increased price target of $40.
Je vous avoue que je ne sais absolument pas comment ils arrivent à leur price target, mais par contre, si AIG arrice à racheter pour 15 à 20 milliards en actions, c'est certainement un "home run". Ce serait au delà de mes rêves les plus fous...
Même si le PT me parait totalement aberrant, comme chez DB, je pense que ces récents upgrades traduisent le fait que les analystes commencent à comprendre AIG. Je pense aussi que ce n'est qu'un début et qu'ils devraient comprendre mieux d'ici 2013 à 2015 (sans IFLC et quand le gouvernement sera sorti avec un rachat d'actions massif des parts par AIG eux-mêmes).
Pour info, sur mes achats de ce mois-ci aux prix actuels, j'ai pris 50% warrant et 50% actions, pour couvrir le risque du warrant au tarif actuel si mes estimation de valeur intrinèque supérieure à 70 (voire même 90 ou +) s'avéraient erronées.
La couverture n'était pas nécessaire sur les mois précédents à mon sens.
À ton avis, pourquoi Warren Buffett n'a pas acheté de AIG.WS? S'il y en a un qui connait les assurances, c'est certainement Warren... et pourtant, il a des warrants de BAC mais pas de AIG.
1) Je ne suis pas Buffett, donc je ne peux pas savoir. Toure réponse n'est qu'interprétation, qui sera donc nécessairement biaisée.
2) Il m'est complètement égal de savoir ce que pense Buffett d'AIG, bien que j'admire cet investisseur.
3) Buffett n'a pas acheté Apple en 2003 alors que c'était un net-net (celle là, c'était pour plaisanter :-))
Voici ma version de réponse possible (qui ne tue personne :-)) :
Dejà, Warren Buffett n'a pas acheté des warrants BAC disponibles sur le marché pour 5 milliards d'USD, mais a négocié des warrants spécialement pour lui avec son CEO. Ce n'est pas ce que j'appelle un achat. Pourquoi l'a-t-il fait ? Vu la taille de son actif sous gestion, il n'aurait jamais pu accumuler un nombre significatif de BAC warrants A. J'ai moi-même (avec un capital pourtant très faible par rapport à Buffett) du mal à accumuler ces warrants sans faire monter les prix, alors pour Buffett, c'est juste pas possible.
Une remarque supplémentaire : le warrant AIG est beaucoup moins liquide que les warrants BAC A, donc, s'il ne peut pas acheter le warrant BAC A, pour celui d'AIG, n'en parlons même pas. D'autre part, jamais Robert Benmosche n'accepterait que Buffett négocie un deal comme il l'a fait pour BAC. Pourquoi ? Benmosche accumule tous les mois des titres AIG, a beaucoup d'options et détient des warrants. AIG a un capital en excès hyper important et ne ressent absolument pas le besoin de rassurer le marché : ils préfèrent calmement employer ce capital en excès pour racheter inteligemment des actions à un prix ridicule.
Une autre remarque en passant : l'action AIG est aussi assez peu liquide parce que le Trésor en détient encore 70%. Buffett ne peut donc même pas acheter une participation significative en actions !
Wow, c'est ce que j'appelle une réponse complète! Je ne suis pas un émule de Buffett même si je l'admire énormément mais il fallait reconnaître que la question était tout à fait légitime!
Petite question au sujet de Buffett, n'y a-t-il pas des contraintes pour lui parce justement il possède déjà beaucoup de compagnies d'assurance? A-t-on le droit de posséder une participation importante d'un concurrent?
Sinon, je crois que Serge a raison, avec une part de 70% du gouvernement, Buffet est très limité par la liquidité et la taille de la participation qu'il peut prendre, il a donc possiblement laisser passer son tour.
Pour que le warrant, au prix actuel de 12,30$ ne rapporte aucun rendement en 8,75 ans soit d'ici l'échéance, il faudrait que le ROE annuel moyen soit de 7% par an et que le titre se transige encore à 0,7 fois sa book value en janvier 2021. Considérant qu'ils ont 16B$ de Deferred tax assets ils vont être bons pour ne pas payer d'impôt pour un bon moment ce qui va booster le ROE. Considérant aussi que le CEO semble vraiment solide dans sa gestion du capital, je pense qu'il y a beaucoup trop de upside sur ce warrant là pour pas que ce soit un screaming buy. À moins qu'on ait un tsunami par an jusqu'en 2021, ils livreront probablement un ROE de 10%.
À un ROE de 10% par an et un Price-To-Book de 1, le rendement annuel espéré est de 19,6%, et ça, sans compter l'impact du taux de change CAD/USD qui risque plus d'être favorable que défavorable.
C'est sûr qu'il y a toujours le risque que la Book Value ne reflète pas la réalité (ça demeure une compagnie d'assurance) mais un moment donné, il faut vivre avec et c'est vrai pour toutes les sociétés cotées en bourse.
Enfin, le gros plus dans tout ça c'est que je vais commencer à m'intéresser davantage aux compagnies d'assurances ce qui est intéressant! Un secteur de plus à mieux connaître!
Et à 5-6 USD, c'était (à mon avis) un sell your house, your car, whatever you can, and tell your parents and all your friends to do the same buy !
Aujourd'hui, je suis plus modéré car aux niveaux actuels, l'action est intéressante aussi, dans la mesure où à la moitié de sa book value (un peu plus) et un ROE de 10%, ça fait du 20% par an (un peu moins), le risque de downside particulièrement faible. Tout cela sans compter les rachats d'actions possibles (ou devrais-je dire quasi certains ?).
La book value m'a l'air particulièrement fiable hors tax assets, car beaucoup de bons & tradable assets pour seulement 20 milliards de dérivés (qui représentent peanuts sur le total des actifs). Je trouve ça presque un peu trop clean :-).
American International Group Inc. (AIG), the insurer majority owned by the U.S. Treasury Department after a 2008 bailout, said the U.S. may exit its stake in the company by next year.
“It will be Treasury’s choice as to when they want to liquidate” their shares, AIG Chairman Steve Miller said in a Bloomberg Television interview. “But it is certainly within the realm of possibility that it could happen within the next 12 months.” AIG Chairman Robert Miller
Chief Executive Officer Robert Benmosche, 67, has repurchased shares from the government to help the company regain independence from its rescue and improve return on equity. New York-based AIG bought back $3 billion of stock from the Treasury last month at $29 a share as the department sold the same amount at that price in an offering to investors, cutting the U.S. stake to about 70 percent.
“We’re getting a lot closer to that point that we will have paid back every penny that taxpayers put into this company, plus a profit,” Miller said today in the interview in New York, where AIG is based.
AIG may generate funds for buybacks through distributions from subsidiaries and additional asset sales, including the lowering of a stake in Hong Kong-based insurer AIA Group Ltd. (1299), Deutsche Bank AG’s Josh Shanker said in a note to clients last month. The analyst estimated that the company could repurchase $15 billion to $20 billion of stock in the next year.
C'est vrai que le «deal» avec le gouvernement est tellement avantageux pour les actionnaires qu'il y a effectivement un risque politique avec AIG... mais bon, comme on est dans une année électorale, je crois pas que les choses vont bouger beaucoup et que le gouvernement serait prêt à durcir sa position envers AIG...
Pas très impressionnant encore, on est très loin du potentiel max. En améliorant les ratios combinés au cours des deux prochaines années, ils devraient faire significativement mieux.
En tout cas, cela confirme que le business n'est pas mourant, au cas où certains le pensaient encore.
Vivement la sortie du trésor US avec un rachat d'actions vers septembre 2012 (fin de la lock-up period pour AIA).
AIG va en racheter pour 2 milliards de $. La dernière vente d'actions (en mars) s'est faite à 29$ et le titre s'est transiger les jours suivant l annonce autour de 28$. Est-ce qu'on peut s 'attendre à ce que le titre se transige autour de 29.50$, soit 1$ de moins comme lòrs de la dernière émission?
American International Group (AIG) as a value stock? Whitney Tilson unveiled what he said is T2 Partners’ fourth largest position Monday after the close of trading. He did so with a prediction that the government could shed its entire AIG stake within the next year or two and that the stock, which closed at $31.84, falling 3% after news of announce sale of shares by the Treasury, could reach anywhere from $52-$70.
“The business has dramatically simplified” and will continue to do so over the next year or so, Tilson told several hundred listeners at his Value Investing Congress in Omaha. It is a “completely different company” than it was immediately following and during the financial crisis, those listeners were told.
Associated Press
Value stock?
“The taint of so many value oriented managers getting blown up has weighed on the stock but that will pass,” Tilson said. With colleague Glenn Tongue, the core of the argument boils down to asset sales, cash flow and book value. The three non-core businesses they expect AIG to spin off next, plus ongoing cash flow, should be enough to buy back the entire government stake should they so wish, they argued, though they added the government likely wouldn’t allow that. The three businesses are the Maiden Lane III asset portfolio, the AIA stake and the International Lease Finance Corp.
Tilson and Tongue argued that investors’ view that the stock is capped around $29 — the level at which the government breaks even — can’t be permanent, and that fund managers avoid the stock not for fundamentals but because they worry their careers could be damaged if they lose money in AIG. Such illustrations of the stock’s stigma are reasons to own it, they argued. There were other arguments pertaining to deferred tax assets and the prospects for the core insurance businesses that the duo also cast as bullish.
AIG closed down 3% after the U.S. Treasury said it will sell about $5 billion of shares, including $2 billion back to the company at a price of $30.50. The government’s stake is cut to around 60%.
" fund managers avoid the stock not for fundamentals but because they worry their careers could be damaged if they lose money in AIG."
C'est le bout que j'aime le plus et ca résume ce que je disais dans un post précédent. C'est pas bon pour le gestionnaire d'avoir AIG en portefeuille car les clients investisseurs ont encore une mauvaise image d'AIG.
Réponses
After meeting with management, Deutsche Bank believes AIG is likely to repurchase more of its own shares and at a faster pace than the market currently expects. The firm thinks $15B-$20B worth of buybacks is achievable over the next two 12 months and maintains a Buy rating on the AIG shares with an increased price target of $40.
Je vous avoue que je ne sais absolument pas comment ils arrivent à leur price target, mais par contre, si AIG arrice à racheter pour 15 à 20 milliards en actions, c'est certainement un "home run". Ce serait au delà de mes rêves les plus fous...
Voici l'analyse de la DB:
http://dl.dropbox.com/u/32606407/032512%20AIG%20%20DB.pdf
Upgrade de Bernstein, PT à 45.
Même si le PT me parait totalement aberrant, comme chez DB, je pense que ces récents upgrades traduisent le fait que les analystes commencent à comprendre AIG. Je pense aussi que ce n'est qu'un début et qu'ils devraient comprendre mieux d'ici 2013 à 2015 (sans IFLC et quand le gouvernement sera sorti avec un rachat d'actions massif des parts par AIG eux-mêmes).
Pour info, sur mes achats de ce mois-ci aux prix actuels, j'ai pris 50% warrant et 50% actions, pour couvrir le risque du warrant au tarif actuel si mes estimation de valeur intrinèque supérieure à 70 (voire même 90 ou +) s'avéraient erronées.
La couverture n'était pas nécessaire sur les mois précédents à mon sens.
À ton avis, pourquoi Warren Buffett n'a pas acheté de AIG.WS? S'il y en a un qui connait les assurances, c'est certainement Warren... et pourtant, il a des warrants de BAC mais pas de AIG.
Polangevin,
J'hésite à te répondre pour plusieurs raisons :
1) Je ne suis pas Buffett, donc je ne peux pas savoir. Toure réponse n'est qu'interprétation, qui sera donc nécessairement biaisée.
2) Il m'est complètement égal de savoir ce que pense Buffett d'AIG, bien que j'admire cet investisseur.
3) Buffett n'a pas acheté Apple en 2003 alors que c'était un net-net (celle là, c'était pour plaisanter :-))
Voici ma version de réponse possible (qui ne tue personne :-)) :
Dejà, Warren Buffett n'a pas acheté des warrants BAC disponibles sur le marché pour 5 milliards d'USD, mais a négocié des warrants spécialement pour lui avec son CEO. Ce n'est pas ce que j'appelle un achat. Pourquoi l'a-t-il fait ? Vu la taille de son actif sous gestion, il n'aurait jamais pu accumuler un nombre significatif de BAC warrants A. J'ai moi-même (avec un capital pourtant très faible par rapport à Buffett) du mal à accumuler ces warrants sans faire monter les prix, alors pour Buffett, c'est juste pas possible.
Une remarque supplémentaire : le warrant AIG est beaucoup moins liquide que les warrants BAC A, donc, s'il ne peut pas acheter le warrant BAC A, pour celui d'AIG, n'en parlons même pas. D'autre part, jamais Robert Benmosche n'accepterait que Buffett négocie un deal comme il l'a fait pour BAC. Pourquoi ? Benmosche accumule tous les mois des titres AIG, a beaucoup d'options et détient des warrants. AIG a un capital en excès hyper important et ne ressent absolument pas le besoin de rassurer le marché : ils préfèrent calmement employer ce capital en excès pour racheter inteligemment des actions à un prix ridicule.
Une autre remarque en passant : l'action AIG est aussi assez peu liquide parce que le Trésor en détient encore 70%. Buffett ne peut donc même pas acheter une participation significative en actions !
Je ne suis pas un émule de Buffett même si je l'admire énormément mais il fallait reconnaître que la question était tout à fait légitime!
À un ROE de 10% par an et un Price-To-Book de 1, le rendement annuel espéré est de 19,6%, et ça, sans compter l'impact du taux de change CAD/USD qui risque plus d'être favorable que défavorable.
C'est sûr qu'il y a toujours le risque que la Book Value ne reflète pas la réalité (ça demeure une compagnie d'assurance) mais un moment donné, il faut vivre avec et c'est vrai pour toutes les sociétés cotées en bourse.
Enfin, le gros plus dans tout ça c'est que je vais commencer à m'intéresser davantage aux compagnies d'assurances ce qui est intéressant! Un secteur de plus à mieux connaître!
Et à 5-6 USD, c'était (à mon avis) un sell your house, your car, whatever you can, and tell your parents and all your friends to do the same buy !
Aujourd'hui, je suis plus modéré car aux niveaux actuels, l'action est intéressante aussi, dans la mesure où à la moitié de sa book value (un peu plus) et un ROE de 10%, ça fait du 20% par an (un peu moins), le risque de downside particulièrement faible. Tout cela sans compter les rachats d'actions possibles (ou devrais-je dire quasi certains ?).
La book value m'a l'air particulièrement fiable hors tax assets, car beaucoup de bons & tradable assets pour seulement 20 milliards de dérivés (qui représentent peanuts sur le total des actifs). Je trouve ça presque un peu trop clean :-).
:-D
“It will be Treasury’s choice as to when they want to liquidate” their shares, AIG Chairman Steve Miller said in a Bloomberg Television interview. “But it is certainly within the realm of possibility that it could happen within the next 12 months.”
AIG Chairman Robert Miller
Chief Executive Officer Robert Benmosche, 67, has repurchased shares from the government to help the company regain independence from its rescue and improve return on equity. New York-based AIG bought back $3 billion of stock from the Treasury last month at $29 a share as the department sold the same amount at that price in an offering to investors, cutting the U.S. stake to about 70 percent.
“We’re getting a lot closer to that point that we will have paid back every penny that taxpayers put into this company, plus a profit,” Miller said today in the interview in New York, where AIG is based.
AIG may generate funds for buybacks through distributions from subsidiaries and additional asset sales, including the lowering of a stake in Hong Kong-based insurer AIA Group Ltd. (1299), Deutsche Bank AG’s Josh Shanker said in a note to clients last month. The analyst estimated that the company could repurchase $15 billion to $20 billion of stock in the next year.
C'est vrai que le «deal» avec le gouvernement est tellement avantageux pour les actionnaires qu'il y a effectivement un risque politique avec AIG... mais bon, comme on est dans une année électorale, je crois pas que les choses vont bouger beaucoup et que le gouvernement serait prêt à durcir sa position envers AIG...
Imaginons le pire : AIG n'a plus de crédit d'impôt. On parle de 6$ de book value à restituer -> en clair, peanuts !
Wall Street a toujours des raisons de s'inquiéter... Why not stop worrying and start living ? :-)
First Quarter 2012 After-Tax Operating Income of $3.1 Billion
Core Insurance Operating Income of $2.4 Billion in First Quarter of 2012
BOOM!
Pas très impressionnant encore, on est très loin du potentiel max. En améliorant les ratios combinés au cours des deux prochaines années, ils devraient faire significativement mieux.
En tout cas, cela confirme que le business n'est pas mourant, au cas où certains le pensaient encore.
Vivement la sortie du trésor US avec un rachat d'actions vers septembre 2012 (fin de la lock-up period pour AIA).
http://blogs.barrons.com/focusonfunds/2012/05/07/tilsons-latest-buy-aig/?mod=yahoobarrons
By Brendan Conway
American International Group (AIG) as a value stock?
Whitney Tilson unveiled what he said is T2
Partners’ fourth largest position Monday after the close of trading. He
did so with a prediction that the government could shed its entire AIG stake
within the next year or two and that the stock, which closed at $31.84, falling
3% after news of announce sale of shares by the Treasury, could reach anywhere
from $52-$70.
“The business has dramatically simplified” and will continue to do so over
the next year or so, Tilson told several hundred listeners at his Value
Investing Congress in Omaha. It is a “completely different company” than it was
immediately following and during the financial crisis, those listeners were
told.
Press
“The taint of so many value oriented managers getting blown up has weighed on
the stock but that will pass,” Tilson said. With colleague Glenn
Tongue, the core of the argument boils down to asset sales, cash flow
and book value. The three non-core businesses they expect AIG to spin off next,
plus ongoing cash flow, should be enough to buy back the entire government stake
should they so wish, they argued, though they added the government likely
wouldn’t allow that. The three businesses are the Maiden Lane
III asset portfolio, the AIA stake and the
International Lease Finance Corp.
Tilson and Tongue argued that investors’ view that the stock is capped around
$29 — the level at which the government breaks even — can’t be permanent, and
that fund managers avoid the stock not for fundamentals but because they worry
their careers could be damaged if they lose money in AIG. Such illustrations of
the stock’s stigma are reasons to own it, they argued. There were other
arguments pertaining to deferred tax assets and the prospects for the core
insurance businesses that the duo also cast as bullish.
AIG closed down 3% after the U.S. Treasury said it will sell about $5 billion
of shares, including $2 billion back to the company at a price of $30.50. The
government’s stake is cut to around 60%.
" fund managers avoid the stock not for fundamentals but because they worry
their careers could be damaged if they lose money in AIG."
C'est le bout que j'aime le plus et ca résume ce que je disais dans un post précédent. C'est pas bon pour le gestionnaire d'avoir AIG en portefeuille car les clients investisseurs ont encore une mauvaise image d'AIG.
Ce n'est pas tous les jours que je suis d'accord avec Tilson... ça me met presque un doute sur mon idée :-)
Bon allez, il pourrait avoir raison cette fois ?...