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AIG

Données de décembre. Somme des parties :

Chartis : tendances bonnes avec l'augmentation des prix. Capacité bénéficiaire de plus de 6 milliards/an. A un multiple de 10 fois les bénéfices (typique pour une compagnie d’assurance en période sans crise financière, et AIG a un gros crédit d'impôt), Chartis vaudrait à elle seule plus de 60 milliards, à comparer avec une capitalisation boursière de 44 milliards pour AIG.

SunAmerica : les réductions de coûts ont permis d’économiser 700 millions. Capacité bénéficiaire : plus de 2,5 milliards. A un multiple de 10, SunAmerica vaudrait environ 25 milliards.

IFLC (leasing d’avions) : a perdu près de 5,7 milliards, suite à une dépense exceptionnelle pour la mise à niveau de sa flotte. Le CEO d’AIG souhaite se débarrasser de cette activité pour entre 8 et 10 milliards, via une introduction en bourse.

30% d’AIA : assureur leader en Asie. Plus de 11 milliards via cette participation.

UGC corp assure les prêts immobiliers. L’activité qui ne semble pas consommer d’argent, ni en rapporter. Nous comptons sa valeur pour 0 car nous ne savons pas l’estimer, bien qu’elle devrait valoir au moins 2 milliards, parce qu’elle a 4 milliards d’actifs (la plupart des bons du Trésor américains pour 2 milliards de dettes totales.

Première estimation grossière de la valeur d’AIG : 60 + 25 + 8 +11 = 104 milliards (prix de 54 $ pour une action), à comparer avec un prix à payer de 44 milliards (23 $ pour une action). A noter que toutes nos estimations de bénéfices se font dans un environnement économique tendu, où le comportement des marchés de capitaux a été défavorable à AIG. Nous comptons également pour 0 les crédits d'impôts et les recettes futures sur les ventes "Maiden Lane".

Ecart prix/valeur

Grosse marge de sécurité, car AIG côte très en-dessous de sa valeur comptable alors que les autres assureurs cotent à leur valeur comptable ou plus pour les bons assureurs. En 2010 pour AIG : P/B = 0,51 & PE = 5,73. AIG est la moins chère en termes de valeur comptable, sans compter son crédit d'impôt. AIG est encore très loin de son potentiel maximal.
Book value autour de 45$/action contre un prix de 23. IFLC sera vendue et générera entre 8-10 milliards de dollars pour AIG. valorisée à 8 milliards de dollars US dans les livres. AIG a au moins 6$/action de crédit d’impôt. Beaucoup de cash ou« marketable securities »(dont 11 milliards pour AIA et 260 milliards de bons du Trésor). On ne compte pas le prix de l’image de marque et de la base de clients de Chartis et SunAmerica. Les investissements et les actifs présents dans des comptes séparés suffisent à solder les dettes d’AIG. La majeure partie des investissements sont des bonds du Trésor. Capacité bénéficiaire : Benmosche pense pouvoir faire un ROE de 15%. Disons entre 10 et 15%, soit entre 4 et 9$ par action chaque année. AIG fait tout pour augmenter sa profitabilité. Chartis augmente ses prix et IFLC va être délestée. Comme le marché estime qu’AIG va perdre la moitié de son capital, les risques de perte permanente à long termesont réduits. Tout scénario autre qu’une nouvelle banqueroute semble a priori gagnant.

Si la société redevient profitable, on peut raisonnablement escompter un premium d’environ 8,5 fois le bénéfice moyen sur cette valeur, soit entre 42,5 USD et 76 USD,en plus des 51 USD comptablement justifiés. La fourchette avec le premium serait de 93,5 à 127 USD. Les insiders achètent et il y a un programme de rachat d'actions en cours.

A noter : il existe également des Warrants à durée de vie 10 ans avec un strike à 45 $. Si l'on voit la valeur est plus proche de 90 que de 45, les warrant à 6 $ l'unité sont mieux. On peut faire un "hedging" avec les 2.

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Réponses

  • 504 Réponses trié par Votes Date
  • En résumé, tu paies le cours actuel du warrant pour le droit d'acheter AIG à 45 pendant 10 ans (plus précisément jusqu'à la date d'expiration).

    Comme pour BAC, le strike s'ajuste à la baisse avec le paiement d'un dividende supérieur à 35 cents par action. En gros, on peut voir ça comme un warrant qui "paie" des dividendes si jamais il y en a un jour.

    Pour moi, le deal est le suivant : tu as un business d'assurance, qui souvent, s'échange à hauteur de la book value. Elle est de 55 USD. Celle ci peut croitre au rythme de 4 USD par an, voire plus à plus long terme. Dans 9 ans, tu arriverais, à coup de 4 USD par an, à quelque chose dans les alentours de 90 pour la book value.

    Si mon estimation est à peu près bonne, le warrant vaut alors 45 environ. En décembre / janvier, le Warrant s'échangeait à 6, aujourd'hui, on est plutôt à 9.

    Avec l'action, tu ferais "seulement" x3 avec cette estimation.

    Même si AIG touche les 70 seulement, tu as quand même un warrant qui vaut 25, soit un rendement légèrement supérieur à l'action. A 60, le warrant vaut 15 et le rendement de l'action est alors plus intéressant.

    Il peut être intelligent de couvrir sa position warrant avec l'équivalent en actions, en guise d'assurance si jamais on n'arrive pas à un investissement profitable sur le warrant. Ainsi, si AIG ne touche que 50, on a un rendement positif pour l'action pour compenser le négatif du warrant (car il ne vaudrait que 5).

    Toutefois, je ne pense pas qu'un superbe business mérite une valorisation aussi faible. Après, chacun son style.

  • oh yeah :)

    AIG stock is surging in after-hours trading after the company said it would resume paying a dividend and would resume buying back stock.

    The insurer announced a 10-cent-per-share dividend and a $1 billion share buyback.

  • Je me demande où le gestionnaire de Medici a trouvé cette idée de placement... ;-)

    Je pense qu’il faut inviter Sergio à Montréal pour un 5 à 7. 

  • Au risque de passer pour un snobe, même si j'étais invité au canal argent et que j'étais milliardaire, je préfère aller au 5 à 7 !

  • Moi non plus, je ne l'étais pas au début. J'avais d'abord lu la discussion d'AIG sur cornerof...(à lire en passant) mais sans trop d'intérêt.

    Je me suis demandé d'où provenait ce manque d'intérêt, et je crois que c'est l'histoire récente d'AIG (2008-2009), l'implication du gouvernement (j'hais ça!). En bref, j'ai lu "AIG", et bof on regarde ailleurs...

    Et c'est d'ailleurs un des atouts d'AIG présentement. Ils ont pu racheter pour 1.5milliars d'actions dernierement à 50% de la valeur comptable.

    Il faut acheter au son des canons et vendre au son des violons!  Dans le cas d'AIG, le son du canon resonne encore dans les oreilles de biens des gens. Un jour ou l'autre ce sera le son des violons qu'on va entendre... 

  • Sell your car, sell your house... C'est bien beau mais tu fais quoi quand tout ce que tu as c'est un bon vélo! :)
    LOL parle-moi de ça quelqu'un qui a 110% de son net worth investi en bourse!  Un vrai believer !
  • Ce n'est pas tous les jours que je suis d'accord avec Tilson... ça me met presque un doute sur mon idée :-)

    Bon allez, il pourrait avoir raison cette fois ?...

  • juin 2012 modifié Vote Up1Vote Down
    "Forecasts tell a lot about the forecaster, nothing about the future" (Warren Buffett)
  • C'est juste moi, ou c'est normal que les warrants AIG fassent encore partie de mes meilleures idées actuelles?
  • C'est pas juste toi!
  • Bonne idée de discussion pour le souper en ce 14 fév. lol
  • Il y a 3 book value présenté. J'aurais tendance à prendre celle du milieu, car les DTA seront vraisemblablement utilisé dans les années à venir. On pourrait donc dire que la valeur au livre est à 69, non?
  • Avec ton poids dans l'entreprise, utilise tes droits de vote, impose à BAC d'effectuer un rachat d'actions massifs. 
  • Faut aimer ça job pour rester en place jusqu'à ce que la santé nous empêche de travailler même libre financièrement . Il est mort 5 mois suivant son départ.
  • En regardant dans la rétroviseur, le chemin accompli est assez remarquable :
    • AIG a plus qu’honoré sa promesse de rembourser le Trésor US puisque le contribuable américain a finalement enregistré un profit de $15Mds en 4 ans. 
    • AIG s'est délestée de certains actifs (AIA et ILFC, moins stratégiques) et les actifs toxiques, isolés, ont été vendus ou sont en voie d'extinction et ne constituent plus une menace pour le groupe.
    • Les activités d'assurance ont vu leurs profits pré-taxes augmenter de 30%. 
    • Les fonds propres dans le bilan sont passés de 80 à 85% et la valeur comptable a cru de plus de 40%.
    • Le ROE est toujours sous pression du fait des taux bas qui pénalisent l'ensemble du secteur.
    • De nombreuses dettes ont été repayées et/ou refinancées, faisant baisser les frais financiers du groupe et améliorant la qualité de son bilan. 
    • Un dividende a été réinstauré et augmenté deux fois. Il est actuellement de $0,28 par trimestre, soit un rendement de 1,8%. Il est modeste, mais sans doute voué à croître dans les années à venir.
    • Compte tenu de la faiblesse du cours, AIG en a profité pour racheter massivement ses actions. En 3 ans, le nombre d'actions a ainsi diminué de 23% ! Ainsi, à profit constant, le profit par action augmente mécaniquement de 30%. 

    Bien que le cours de l'action ait plus que doublé (tout cela pour un investissement qui nous paraissait extrêmement peu risqué), AIG s'échange aujourd'hui encore à 0,8 fois sa valeur comptable ce qui ne paraît pas très cher eu égard à la qualité du business, ses perspectives en cas de remontée des taux et la pertinence de l'allocation de capital. 
    AIG constitue actuellement ce que certains investisseurs appellent une action de bon père de famille, que d'autres catégoriseront comme GARP, voire GAVRP (Growth At Very Reasonable Price). 

    Ces dernières années, AIG a su trouver des solutions à ses nombreux problèmes, construire un bilan très solide, recentrer son activité sur son cœur de métier et allouer rationnellement les capitaux disponibles (on pourra déplorer le versement du dividende, pas forcément nécessaire : employer le capital ainsi reversé en rachats d’actions aurait été encore plus relutif et fiscalement avantageux pour les actionnaires).
    Nous serions bien évidemment ravis de voir le management délivrer la même qualité de travail les trois prochaines années et au-delà.

    Edit : je n'ai pas d'actions AIG, uniquement des warrants
  • Merci JF pour le lien.

    Personnellement je pense que le warrant à moins de 18$ est encore une excellente opportunité d'investissement.
    Le retour aux actionnaires est assez important et le sera encore dans les deux années à venir (objectif de $25B).
    La pression d'Icahn a au moins le mérite de faire accélérer les choses (même si je ne suis pas d'accord avec la séparation en trois entités distinctes qui impacteraient très négativement l’utilisation de DTA, très conséquents chez AIG).
  • Merci jf et Automne pour vos post-mortem. Ça rejoint pas mal mon expérience des titres financiers en général. 

    Que ce soit des assureurs ou des banques, il y a toujours un côté "boîte noire" dans ce type d'investissement. Impossible de savoir si l'entreprise est vraiment bien gérée ou s'il y a un problème dans les livres avant que le problème te "pète" au visage...

    Soyons honnête, la plupart des investisseurs se basent sur la réputation de l'entreprise et sur le fait que des investisseurs/gestionnaires réputés en vantent les mérites... On achète une thèse d'investissement mais on ne comprend pas vraiment la société.

    Pire, une financière peut surfer sur sa réputation passée alors qu'elle n'est plus vraiment bien gérée depuis quelques années. Wells Fargo et Home Capital Group sont des exemples de ça. Wells Fargo est probablement mal gérée depuis 10 ans mais Buffett continuait de la vanter à tour de bras avant que les scandales n'éclatent. Buffett non plus n'avait dans le fond aucune idée de ce qui ce passait à l'intérieur de la banque.

    Ce sûr que ce n'est jamais évident de bien comprendre un titre (peu importe son secteur). Je trouve simplement qu'avec les financières, la tâche devient quasi-impossible.
  • La compagnie faisait pas mal de progrès récemment, de bons résultats au dernier trimestre.

    Et là le titre et le warrant chute fortement. Le warrant est sous les 3$. Un gros problème, échéance dans moins d'un an. Un warrant permet d'acheter AIG à 43$ environ, la valeur aux livres est à 75$, 58$ excluant différents éléments. Ça m'apparait exagéré, mais comprendre la réaction du marché sur une courte échelle de temps...
  • Désolé si mon post précédent n'était pas clair et/ou mal écrit, j'ai eu un problème de place et ai du faire des choix. Je n'ai pas un bon esprit de synthèse.

    Un petit update car AIG a publié ses résultats ce soir.

    C'est encore très loin du vrai potentiel de la boîte, mais on note une vraie reprise pour les activités d'assurance. On devrait voir quelque chose de meilleur avec les tarifs plus élevés pratiqués par Chartis par la suite. La libération des "tax assets" est de bonne augure question profitabilité future. Les Maiden Lane continuent à rapporter au-dessus de nos attentes.

    La book value passe à plus de 55$ et nous sommes confiants sur le fait qu'elle peut croître chaque année de 4$ par action au moins sur le long-terme (ce qui suppose ROE médiocre inférieur à 7,5%, soit deux fois moins que ce que vise Benmosche en 2015). Nous pensons par ailleurs que Benmosche peut faire bien mieux (mais c'est du luxe) en désendettant encore plus la boîte et en rachetant plus d'actions.

    Nous ne concevons toujours pas de vendre en deça de 90 pour l'action et de 45 pour le Warrant (à long terme bien entendu). 

  • mars 2012 modifié Vote Up0Vote Down
    La plupart des gens ici sont moins aggressif que ça et placent leur argent a long terme, j'ai pas entendu parler souvent de AIG, Citigroup, BAC ou de Goldman Sachs.
  • Tito,

    Je place aussi à long-terme (et détiens de facto certains titres depuis 8 ans, début de mon expérience d'investisseur) et pense aussi être très loin de ce que l'on peut appeler un être agressif. Je n'ai jamais agressé personne :-).

    Pour moi, AIG en décembre, c'est comme Apple en 2003 : une star déchue et incomprise, qui se vend moins cher que sa valeur liquidative. Je partage l'idée avec les personnes de ce forum parce que, contrairement à beaucoup d'autres, je trouve ce forum ouvert et très respectable. J'apprécie beaucoup que de nombreuses personnes partagent candidement le fruit de leurs recherches.

    Bien sûr, il est parfaitement normal que mes idées puissent ne pas être partagées. Chacun est libre de ses opinions et de ses choix.

    Mon portefeuille personnel et professionnel sont investis à environ 75% dans les warrants BAC et AIG à 10 ans, parce que je pense que ce sont des business viables à long-terme, mais tu as droit de ne pas être d'accord. Je pense être ici dans mon cercle de compétence car j'interviens très souvent en tant que fournisseur de services auprès de telles compagnies.

  • wow 75%!  C'est vraiment concentré. 
  • Je me trouve beaucoup moins courageux avec l'âge : Apple en 2003, c'était 100%.

    Après, ce n'est plus les mêmes montants (j'étais très pauvre à l'époque et il eut été bête de diversifier ma faible épargne au vu des frais de courtage élevés). Aujourd'hui, je suis engagé devant mes co-actionnaires à diversifier un minimum, même si je suis autorisé à concentrer sur mes meilleures idées. Si ce n'était que pour moi, je ferais probablement 100%. Pour mon portefeuille personnel, je tiens à ce qu'il soit le même que mon professionnel, par équité. 

    En fait, j'ai tellement de mal à trouver un fit parfait avec ma philosophie d'investissement que je me dois absolument de concentrer lorsque j'en vois un.

  • Et comment justifies-tu les warrant de BAC? 
  • Et comment justifies-tu les warrant de BAC? 
    Le but n'étant pas de te critiquer mais peut-être d'embarquer :)
  • Sergio,  

    je ne mettais pas en doute ton analyse ou ton gout du risque loin de la (qui suis-je pour juger) mais c'était plutot pour expliquer le manque de réponse a ton analyse, voila tout.


  • Vous avez parfaitement droit de challenger les analyses et de les critiquer, c'est le but du jeu :-).

    Pour BAC warrants A, il faut estimer la valeur de BAC.

    En decembre, on avait une book value de 20$, dont 13$ tangibles. BAC génère déjà 4$/action pré-taxes si j'enlève les dépenses massives liées aux procès. BAC ne paiera pas de taxes sur le prochain bénéfice d'ailleurs. Par ailleus, on peut raisonnablement supposer, basé sur cela, que la capacité bénéficiare de BAC est 2$ après taxes en mode normal (ROE = 10%).

    BAC avait en décembre ~40 milliards de provisions pour ses procès par ailleurs.

    Combien vaudrait BAC dans 10 ans ? Si la banque commence à faire ses bénéfs normaux dans 5 ans, on aura une book value de 20 + 2*5 = 30 $/action. Je pense que c'est une estimation raisonnable. Le Warrant A vaudra alors plus de 14$.

    Mais le stike s'ajuste à la baisse à chaque dividende. Je pense qu'on en aura perçu 2 ou 3$ d'ici là, le Warrant vaudra alors 16-17$.

    Et le risque de dilution dans tout ça ? Il existe, mais il y a 40 milliards de provision, donc il est faible. par ailleurs, si BAC doit lever 60 milliards supplémentaires à 5$ par action, la Book Value est 10 at la capacité bénéficiare de 1$ par action. BAC vaudrait alors 15 au moins, et le warrant vaudrait alors son prix d'achat de fin 2011, voire plus (via ajustement / au dividende).

    Heads I win big, tail I don't loose much.

    Ces estimations n'incluent pas la forte probabilité d'un rachat d'actions massif en dessous de 20$ pour l'action. Dans ce cas, on fera encore mieux évidemment. 

    Aujourd'hui, je ne vois pas de raison particulière de préferer Warrant BAC à AIG. En décembre, je préférais BAC.

  • Pour ceux qui suivent les histoires BAC / AIG, même si je pense que la fête BAC ne fait que commencer et que la marge de sécurité est encore très grande, je préfererai me renforcer sur AIG plutôt que BAC à l'avenir.

    En effet, le côté déprimant d'AIG, qui est la participation du Trésor US, empêche les actions de s'envoler. C'est une très bonne chose pour l'investisseur à long-terme qui peut continuer à se renforcer à des prix ridicules sur AIG, tandis que la société rachète ses propres actions (cf. les propos de Buffett dans sa dernière lettre) !!!

    Je ne suis évidemment pas pour autant vendeur sur BAC.

     

  • mars 2012 modifié Vote Up0Vote Down

    Sergio, avec ta pondération très élevé en warrants de BAC, c'est une très belle semaine qui se termine pour toi!

    J'ai aussi un peu de warrants A de BAC, mais je suis très loin de ta pondération. Je crois aussi que la fête BAC ne fait que commencer.

    Comme on sait tous que tes moyens financier ont augmenter grandement cette semaine, nous comptons sur ta présence lors de notre prochaine petite soirée bourse.  ;)

  • lol eddyc, je suis russe travaillant en Allemagne... Je vais songer à acheter un jet pour venir vous voir si la fête continue :-)

    Plus sérieusement, c'est un investissement qui est prévu pour le long-terme à la base. Je ne l'ai pas achété en décembre parce que je comptais faire un petit fois 2 :-)

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